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Mickaël Lanoye

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Mickaël Lanoye, rédacteur cinéma / DVD / Blu-ray. Découvrir tous ses articles.

Jeu concours DVD Docteur Thorne

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À l’occasion de la sortie en DVD de la série Docteur Thorne, disponible chez Koba Films à partir du 29 novembre, critique-film.fr vous propose de participer à un jeu concours pour gagner des DVD de l'intégrale de la série.

Test DVD : Louise en hiver

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Depuis très longtemps, le cinéma d’animation n’est plus la chasse gardée du jeune public. Rares sont pourtant les films qui réussissent haut la main à traiter de sujets plus exigeants, tout en restant accessibles. Présenté au Festival d’Albi, Louise en hiver compte parmi ces coups de maître, à l’aspect visuel presque minimaliste, quoique d’une beauté renversante, et simultanément riches d’un thème traité sur le ton de la sublimation, avec une inestimable mélancolie en arrière-plan !

Test DVD : Été 93

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C’est un film très personnel que Carla Simón a réalisé. En effet, à l’âge de 6 ans, elle a vécu elle-même tout ce que le film raconte : le sida qui a emporté ses parents, l’accueil dans une nouvelle famille, la campagne qui remplace la ville. C’est sur les lieux mêmes où elle a vécu cette deuxième partie de son enfance qu’elle est allée tourner Été 93 et la langue qu’on entend tout au long du film est le catalan et non le castillan. Concernant la structure du récit, elle a choisi de procéder à un assemblage de scénettes qui, ajoutées les unes aux autres, lui ont permis de peindre au mieux la façon dont, sur la durée d’un été, elle s’est progressivement intégrée dans sa nouvelle famille.

Jeu concours CHASSEUR DE MONSTRES

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À l’occasion de la sortie de Chasseur de monstres, disponible chez Factoris Films à partir du 21 novembre en Blu-ray, DVD et VOD, critique-film.fr vous propose de participer à un jeu concours pour gagner des Blu-ray et DVD du film.

Test Blu-ray : Spider-Man – Homecoming

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On retrouve dans Spider-Man : Homecoming une qualité rare, qui était pendant une période assez longue, en gros à quelques années près la première décennie du siècle, la chasse gardée quasiment exclusive des productions Pixar.

Test Blu-ray : Poesía sin fin

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Poesía sin fin commence là où La danza de la realidad se termine. On revoit d’ailleurs des images de ce final, comme si Jodorowsky voulait nous rappeler l’ambiance de son film précédent ; il faut dire que l’on replonge tout de suite dans ce temps qui semble n’appartenir à aucune époque. On y retrouve le père qui veut paraître violent, la mère qui ne parle qu’en chantant, leur fils Alejandro, le nain déguisé (cette fois-ci en Hitler) qui attire les clients dans leur boutique de tissus … Le décor n’est pas une reproduction détaillée d’une époque révolue, comme on le verrait dans un film hollywoodien. Pour des raisons que l’on devine techniques (le budget du film est assez bas), mais surtout artistiques : ce faisant, Jodorowsky nous annonce ce qui nous attend – non pas une reproduction fidèle de la réalité, mais une vision théâtrale, purement poétique, de sa jeunesse.

Test Blu-ray : Banzaï

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Trois ans après Inspecteur la bavure, Claude Zidi retrouve son ami Coluche à l'occasion de Banzaï, et décide de lui offrir un rôle aux antipodes de celui du film de 1980...

Test Blu-ray : Inspecteur la bavure

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Inspecteur la bavure est un film ayant acquis, au fil des ans et au fur et à mesure de ses passages télé, une solide petite réputation dans le domaine de la comédie franchouillarde sans prétention. La réalisation de Claude Zidi, fonctionnelle, fait le job sans génie, mais parvient tout de même à orchestrer et à mener à bien les rares séquences n'étant pas uniquement portées par le talent comique de Coluche ou de Gérard Depardieu (telle que la fameuse scène de la poupée gonflable).

Test Blu-ray : Darkman – Édition ultime

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Né de diverses influences, piochant allégrement dans les origines de différents héros Marvel en y ajoutant quelques références allant des Universal Monsters aux « sérials » des années 30/40, Darkman impose un univers foutraque et foisonnant d’idées folles.

Test Blu-ray : Le flingueur

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S’ouvrant sur une quinzaine de minutes quasi-muettes et littéralement époustouflantes, durant lesquelles on suit l’exécution par Bronson d’un « contrat », avec une attention toute particulière pour les détails et les gestes méticuleux, professionnels et assurés du personnage principal, Le flingueur est souvent considéré comme le meilleur film de la carrière de Michael Winner. Assez éloigné de l’esprit hardcore et revanchard (pour ne pas dire carrément facho) qui deviendrait la « marque de fabrique » du duo Winner / Bronson, le film de 1972 nous propose un thriller de première bourre, au cœur duquel se dessinera même, en filigrane et sous le couvert d’une relation père / fils contrariée, les bribes d’une tension homo-érotique entre les deux personnages principaux. En guise de fils de substitution à Papy Charlie, on trouvera le jeune Jan-Michael Vincent, qui deviendrait célèbre quelques années plus tard avec la série Supercopter (1984-1986).

Test Blu-ray : The circle

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Le sujet de The circle n’aurait pas pu être plus d’actualité, en ces temps où l’humanité se prépare de gré ou de force à la transition vers une présence du numérique dans tous les domaines de la vie. Dommage alors que l’intrigue ne se montre pas plus originale, pour exprimer en termes filmiques cet état des lieux pour le moins préoccupant. Constamment à mi-chemin entre la propagande pour le règne à venir des réseaux sociaux et une mise en garde presque frileuse contre cette même dérive hypothétique, mais pas si lointaine que ça, le film de James Ponsoldt risque davantage de rater sa cible que de déclencher une réflexion éclairée sur cette thématique pour le moins épineuse.

Test Blu-ray : Free fire

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L’influence de Quentin Tarantino plane sans l’ombre d’un doute sur le sixième film de Ben Wheatley. Ce qui n’est en soi ni un reproche, ni un lien de filiation insurmontable. En effet, le réalisateur américain le plus emblématique de ces vingt dernières années se voit d’abord lui-même comme un passeur, comme le plus grand fan du cinéma de genre d’une époque révolue, qui s’emploie avant tout à transmettre cette cinéphilie de niche, devenue populaire grâce à lui. Et puis, la référence claire et nette s’estompe au fur et à mesure dans Free fire, jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un divertissement d’évasion pleinement maîtrisé. Après la présentation initiale d’un groupe de personnages hauts en couleur, il ne s’agit ainsi qu’à procéder à un joyeux spectacle proche d’un stand de tir mi-tragique, mi-comique,