Jean-Jacques Corrio
Test DVD : Un vent de liberté
il n'est pas interdit de penser que "Un vent de liberté" est tout simplement le plus beau film sorti en 2017, en tout cas pour certain.e.s parmi celles et ceux qui préfèrent la subtilité de situations réelles ou proches de la réalité à des épopées improbables à base d'effets spéciaux.
Critique : Le rire de ma mère
Ce film, dans lequel rode pourtant la mort, est un véritable hymne à la vie, plein de chaleur et de justesse.
Critique : Leila
Quand bien même "Leila" a été réalisé en 1996 et présente une situation typiquement iranienne, ce film est très probablement toujours d'actualité, tout en ayant, au sein de cette situation, une portée universelle indéniable.
Test DVD : Hangover Square
Considéré le plus souvent comme le chef d'œuvre de John Brahm, "Hangover Square" est un film aux qualités multiples.
Critique : Vers la lumière
Un très beau film, oublié par le Jury du Festival de Cannes 2017 mais couronné à juste titre par le Jury Œcuménique.
Critique : Vent du nord
"Vent du nord" : un film politique très ancré dans l'humain.
Critique : L’échange des princesses
Tout au long de "L'échange des princesses", on a l'impression de voir un film très scolaire et qui se contente de montrer ce qui se passe, sans aucun souffle, sans prise de position.
Critique : The Florida Project
Les sujets que traite "The Florida project" sont des sujets sérieux, mais le choix qu'a fait le réalisateur de les aborder au travers de la perception qu'en a un enfant de 6 ans l'oblige à rester à la surface des choses et on peut le regretter !
Test DVD : Cessez-le-feu
"Cessez-le-feu" est un film de facture très classique, servi par un scénario solide, une mise en scène efficace et sans esbroufe et une très bonne direction d'acteurs.
Critique : L’usine de rien
Malgré sa longueur, "L'usine de rien" est un film libre et créatif, un film d'une grande vitalité, un film utile qui fait du bien.
Critique : Mariana (Los Perros)
Alors qu'elle disposait d'un sujet en or, Marcela Said ne réussit pas vraiment à confirmer les espérances qu'avait fait naître "L'été des poissons volants", son beau premier long métrage de fiction. La faute, pour beaucoup, à Antonia Zegers, interprète peu convaincante du rôle principal et que la caméra ne quitte presque jamais.