5 revenge movies

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I Spit On Your Grave Revenge Movie

Ami de la vengeance, nous avons dégoté pour toi 5 bons revenge movies. Ceux qui raffolent de la plus terrible des justices seront servis : du plus soft au plus trash, du deuil difficile d’un être cher au dangereux psychopathe qui se venge pour trois fois rien, le cinéma est rempli de perles dans lesquelles la vengeance est un plat qui se mange froid…

I Spit On Your Grave Revenge Movie

La Dernière maison sur la gauche, de Dennis Iliadis

Un bon petit revenge movie un peu différent des autres dans la mesure où ce sont des parents qui vengent leur enfant. Après une première partie explicite dans laquelle une jeune fille se fait violer, on voit ses propres parents traquer ses agresseurs. Seul hic : le film est un peu trop réaliste, et on regrette que les parents ne redoublent pas d’efforts pour nous proposer des bonnes scènes de vengeance bien calculées et un peu plus trash.

I spit on your grave, de Steven R. Monroe

Présenté au festival du Film fantastique de Strasbourg 2011, I spit on your grave est un bon remake du film du même nom sorti en 1978. Assez hardcore, ce film présente la vengeance sanguinolente d’une jeune femme qui s’est faite violer par plusieurs hommes. A la manière de Saw, on a droit à des morts violentes, ingénieuses et personnalisées.

Critique de I spit on your grave

May, de Lucky McKee

Un film très spécial dans lequel on suit une jeune femme très dérangée. Ne cachant pas beaucoup son penchant pour la folie et le sang et – flippant pour certains spectateurs – partageant une grande amitié avec une poupée de porcelaine, il en faut peu à May pour basculer entièrement du coté obscure. Les scènes d’horreur ne sont pas très effrayantes, mais tout l’intérêt de May repose sur la psychologie fascinante du personnage.

Critique de May

Bedevilled, de Jang Cheol-soo

Venu tout droit de Corée du Sud, Bedevilled a remporté le Grand Prix au 18ème festival du film fantastique de Gérardmer. Et il le méritait bien : une tension qui monte en puissance, un personnage principal féminin sans cesse humilié, une vengeance plutôt hard qui se prépare petit à petit. Et là, c’est le drame… Le film bascule dans l’horreur et soulage la soif de vengeance du public.

Critique de Bedevilled

Et le meilleur pour la fin…

La Piel que habito, de Pedro Almodóvar

Quand Almodovar s’essaie à un autre style, ça donne un film hors du commun qui vous prend les tripes et hante votre esprit trois semaines après encore. Du début à la fin on ne s’ennuie pas une seconde, obnubilé à la fois par une réalisation excellente, des acteurs parfaits (physiquement aussi d’ailleurs), et de nombreuses questions auxquelles on ne cesse de chercher les réponses. On apprécie la construction du film : plusieurs parties s’enchaînent sans trop de rapport les unes avec les autres, mais l’ensemble forme au final un puzzle incroyable (et assez tordu).

Critique de La Piel que habito

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