Tag: Sami Bouajila
Critique Express : Les miens
Ce film, qui mélange drame et comédie, parfois drôle, parfois émouvant, était en compétition lors de la dernière Mostra de Venise, il y a 2 mois 1/2.
César 2021 : le palmarès
Différente, la 46ème cérémonie des César qui s'est tenue hier soir à l'Olympia à Paris, elle l'était à plus d'un titre. Crise sanitaire à longue durée oblige, il lui manquait le côté mondain et parfois bêtement frivole qui la caractérise traditionnellement. Car même si elle a pu avoir lieu en présentiel, seuls les nommés et les présentateurs étaient présents sur place, à distance à peu près raisonnable et la plupart du temps masqués.
César 2021 : les nominations
La sobriété avec laquelle les nominations aux César ont été annoncées avant-hier était sans doute autant choisie que subie. Après l'atmosphère toxique en février 2020 – l'affaire Roman Polanski / J'accuse, vous vous en souvenez, n'est-ce pas ? –, la nouvelle direction de l'Académie des Arts et Techniques du Cinéma a probablement préféré ne pas trop faire de vagues cette année.
Prix Lumières 2021 : le palmarès en direct
Cérémonie particulière ce soir pour la 26ème édition des Lumiere, les prix du cinéma français désignés par la presse internationale. En temps de COVID, pas de grande soirée, mais un plateau avec un nombre
Prix Lumières 2021 : les nominations
En ces temps de grande incertitude, cela a quand même quelque chose de rassurant de voir que plusieurs organismes de prix de cinéma suivent stoïquement leur calendrier habituel. Après la cérémonie de l'Académie européenne avant-hier, le tour était aujourd'hui à Lisa Nesselson, la présidente américaine de l'Académie des Lumières, d'annoncer la liste des films nommés par les plus de 120 correspondants de la presse internationale pour les 26èmes Prix Lumières.
Vu sur OCS : Good Luck Algeria
On aime bien les comédies sportives comme Good Luck Algeria, qu'on vient de rattraper en ligne avant qu'il ne disparaisse demain du catalogue de la plateforme de vidéo par abonnement OCS. Le sport y a une importance au moins aussi grande que le lien social, le premier ne pouvant réussir sans le deuxième et inversement.
Critique : Un fils
Dans "Un fils", Mehdi M. Barsaoui se livre avec finesse à un exercice auquel le cinéma iranien et, tout particulièrement, Asghar Farhadi, nous ont habitué depuis plusieurs années : les tourments d'un couple pris comme métaphore des problèmes que connait un pays.
Venise 2019 : le palmarès
La 76ème édition du Festival de Venise s'est terminée avant-hier soir avec l'annonce de son palmarès. Après la controverse de l'année dernière, suscitée par les récompenses attribuées à des films produits par Netflix, les choix du jury ont été plus consensuels cette fois-ci, à condition que l'on veuille bien considérer que les films de super-héros soient désormais arrivés à leur stade de maturité artistique.
Test DVD : Paradise Beach
Découvert en 1997 avec l’excellent J’irai au paradis car l’enfer est ici (on n’a d’ailleurs jamais eu réellement l’occasion de constater si le film avait vieilli puisqu’il reste encore à ce jour inédit en DVD en France), Xavier Durringer a depuis une vingtaine pris le parti d’alterner les films de cinéma et les productions destinées à la télévision. Après avoir réuni plus de quatre millions de français à la TV avec La mort dans l’âme début 2018, Durringer a orchestré son grand retour au polar avec Paradise beach, qui sonne vraiment comme un « retour aux sources », d'autant que comme dans le cas du film de 1997, il co-signe le scénario avec Jean Miez, ex-gangster et ex-taulard reconverti dans le cinéma.
Test Blu-ray : Lukas
Sorti discrètement dans les salles à la fin de l'été 2018, Lukas marque la rencontre de deux solides artisans du cinéma de genre. Devant la caméra, on trouvera bien-sûr Jean-Claude Van Damme, vieux briscard du cinéma d'action international, aujourd'hui âgé de 59 ans, qui prête ici sa gueule marquée, burinée, ravinée par le temps et les excès à un personnage taciturne, violent, brisé par la vie. La quête de rédemption du personnage est peut-être aussi un peu celle de l'acteur, qui tourne beaucoup moins qu'avant, et dont un film retrouve enfin – pour la première fois depuis 2012 – le chemin des salles obscures. Derrière la caméra, on retrouve avec plaisir Julien Leclercq, réalisateur de l'excellent Braqueurs en 2016, et dont on ressent à nouveau le style sec et brutal ; en outre, le cinéaste est allé rechercher Kaaris et Sami Bouajila, qui jouaient déjà tous les deux dans le film de 2016.
Critique : Les bienheureux
Les sujets traités présentent beaucoup d'intérêt, mais il est impossible de ne pas signaler que le côté très brouillon de la conduite du récit dessert la perception qu'on peut avoir de ce film.
Test DVD : La mécanique de l’ombre
Beaucoup de maîtrise pour ce premier long métrage réalisé par un autodidacte