Tag: Le chat qui fume
Test Blu-ray : La nuit des diables
Pour ceux qui l’ignoreraient, La nuit des diables est l’adaptation d’une nouvelle de Alexis Nikolaïevitch Tolstoï intitulée « La famille du Vourdalak », récemment rééditée en France sous le titre « Une famille de vampires » (2011, éd. de L’Herne).
Test Blu-ray : Exorcisme tragique
Vous pouvez tenter l'expérience autour de vous : à l'annonce du doux nom de Romano Scavolini, les oreilles de l'amateur de bis craspec et de « video nasties » ayant fait les beaux jours des vidéo-clubs des années 80 se dressent immédiatement, comme irrémédiablement attirés par un radar mystérieux, que seul semble animer le goût du sang et de l'étrange.
[Sorties Blu-ray / DVD] Le chat qui fume toute la concurrence...
Après des années d'attente, Le chat qui fume est heureux de vous annoncer la sortie du film culte de Lucio Fulci, LA LONGUE NUIT DE L'EXORCISME (1972).
Test DVD : L’Antéchrist
Réponse italienne à L’exorciste de William Friedkin tourné l’année précédente, L'antéchrist a su marquer durablement les mémoires, sûrement grâce à une poignée de scènes-choc et à la superbe photo du film, signée Joe d'Amato.
Test DVD : L’affaire de la fille au pyjama jaune
Sorti en 1977, L’affaire de la fille au pyjama jaune arrive un poil après la bataille : comme le péplum ou le western spaghetti, le giallo a lentement décliné au fil des ans et à laissé place à d’autres genres de cinéma d’exploitation, et dans la deuxième moitié des années 70, les producteurs ne se risquaient plus des masses à investir dans ce genre de récit.
Test DVD : Journée noire pour un bélier
Réalisateur peu prolifique mais plutôt connu des amateurs de bis, Luigi Bazzoni se voit mis à l’honneur ce mois-ci grâce à la sortie en DVD de Journée noire pour un bélier (Giornata nera per l'ariete) chez nos amis du Chat qui fume.
Test Blu-ray : Le venin de la peur
Le venin de la peur est un giallo très classique, répondant en tous points au cahier des charges du genre. Tout d'abord, co-production européenne oblige, nous aurons droit à l'inévitable casting international propre au bis de l'époque, et au cœur duquel on trouve forcément à boire et à manger, du français Jean Sorel au britannique Stanley Baker