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Tag: Hiam Abbass

Critique : Gaza mon amour

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Même si elle manque un peu de rythme, cette comédie romantique douce-amère, très bien servie par un couple d'interprètes remarquables, se voit avec plaisir et nous en apprend beaucoup sur la vie à Gaza. 

Critique : Les hirondelles de Kaboul

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On ne peut que souscrire à la dénonciation de l'obscurantisme des talibans afghans. On ne peut qu'applaudir au casting de "Les hirondelles de Kaboul". Il est toutefois aussi permis de trouver que la joliesse des images enlève de la vigueur à la dénonciation et que l'utilisation du français dans le contexte du film a du mal à être acceptée dans le cinéma de ce siècle.

Test Blu-ray : Mateo Falcone

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Pour les spectateurs qui savent s'écarter des schémas classiques du cinéma, il y a la récompense, la vision d'un film aux images splendides, au son très travaillé, un film qui aborde le phénomène de la violence et celui de l'honneur de façon presque abstraite.

Critique : Corps étranger

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Les premiers plans du nouveau film de Raja Amari pourraient faire croire qu'il s'agisse d'une énième histoire de réfugiés, en digne exploration opportuniste d'un sujet à la mode. Or, autant Corps étranger intègre astucieusement les sensations de la perte d'attaches et de la dérobade du socle existentiel, propres aux destins des personnes qui ont dû précipitamment abandonner leur foyer et fuir leur pays, autant c'est une thématique encore davantage d'actualité qui apparaît comme le point fort du film.

Prix Lumières 2018 : les nominations

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Également en début de semaine, lundi dernier, le 11 décembre, a eu lieu l'annonce des nominations des 23èmes Prix Lumières à la Monnaie de Paris. Ce prix annuel, créé en 1995 à l'initiative du producteur Daniel Toscan Du Plantier et du journaliste américain Edward Behr, est attribué par les représentants de la presse étrangère à Paris.

Critique : une famille syrienne

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Des films de guerre qui relatent de façon intimiste la journée d'une famille ordinaire réfugiée dans son appartement, au milieu d'une ville prise dans la folie des combats entre clans rivaux, avec son lot de pillages et de viols, le cinéma ne nous en a pas présenté beaucoup. On apprécie d'autant plus "Une famille syrienne" que cette rareté cinématographique est une véritable réussite.

39ème Festival Films de Femmes de Créteil : c’est parti

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Deux jours après la journée internationale des Droits des femmes, l'ouverture de la nouvelle édition de ce festival qui fait la part belle aux...

Blade Runner 2 a un titre !

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La suite du chef d'oeuvre de Ridley Scott (critique), tourné en 1982 et dont l'action se situait en 2019, a désormais un titre officiel :...

Jared Leto rejoint Blade Runner 2

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La distribution de la suite du chef d'oeuvre de Ridley Scott s'enrichit encore. Après l'annonce du retour de Harrison Ford dans le rôle de...

Critique : Rock the Casbah

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C’est l’été à Tanger. Une famille se réunit sur 3 jours dans la maison familiale suite au décès du père, pour se remémorer les souvenirs et partager sa perte, comme le veut la tradition musulmane. Il faut quitter les plages, les maillots de bain pour se vêtir de djellabas, réunir tout le monde et donner à la maison des allures d’enterrement. L’agitation est à son comble d’autant plus que cet homme n’a laissé derrière lui que des femmes. Tout va basculer avec l’arrivée de Sofia, la dernière des filles, celle qui a fait sa vie ailleurs. Actrice n’interprétant que des rôles de terroristes dans des séries américaines, elle arrive de New York après plusieurs années d’absence. Son retour va être le moyen de régler ses comptes avec ses sœurs et bouleverser l’ordre établi depuis toujours par ce patriarche. Entre rire et larmes, une hystérie collective va mener chacune de ces femmes à se révéler à elle-même...

Venise 2012 : Kasia Smutniak maîtresse de cérémonie

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La modèle et actrice Kasia Smutniak sera la maîtresse de cérémonie pour l'ouverture et la clôture de la 69ème Mostra de Venise qui commence le 29 août prochain.

Une bouteille à la mer

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Valérie Zénatti a vécu plusieurs années en Israël et a adapté ici avec Thierry Binisti un de ses romans tiré donc d'une expérience vécue. Ils ont partagé tous deux le désir commun de rendre la complexité d'un pays tout à la fois en guerre et vivant "normalement", d'un pays où les émotions s'expriment dans un interminable conflit. Le tout avec un parti pris narratif concentré sur les deux personnages principaux liés par une relation épistolaire virtuelle; internet étant désormais incontournable dans la vie des hommes et dans la vie du monde.