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Tag: Francis Ford Coppola

Test Blu-ray : Jardins de pierre

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Fort et émouvant, Jardins de pierre se concentrera donc sur la soi-disant « Vieille Garde », c’est-à-dire la Garde d’Honneur qui accompagne les soldats morts sur le champ de bataille dans leur dernier voyage, et qui mène des funérailles militaires avec une rigueur et une précision admirable.

Test Blu-ray : Peggy Sue s’est mariée

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L’intrigue de Peggy Sue s’est mariée suit son héroïne (Kathleen Turner, parfaite) renvoyée de 1985 jusqu’en 1960 suite à un évanouissement survenu lors d’une réunion d’anciens élèves.

Cannes 70 : Kill Bille !

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70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...

Cannes 70 : Souvenirs d’un cinéphile espagnol sur la Croisette

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70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...

Test Blu-ray : Rusty James

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Tourné par Coppola dans la foulée de Outsiders, et toujours d’après un roman de S.E. Hinton, Rusty James en reprend une grande partie du casting et le côté « bande de jeunes » pour en constituer une espèce de pendant esthétisant et froid. Comme s’il s’agissait de la deuxième face d’une même pièce, Rusty James « retourne » Outsiders en le transformant en objet Brechtien, réflexif, profondément conscient de sa nature cinématographique et affichant fièrement une batterie d’artifices visuels clinquants, des cadres léchés, un noir et blanc über-travaillé, comme si le réalisateur cherchait, pour illustrer sa fable sur le temps qui passe teintée de mythologie, à créer un univers unique, suspendu, entre rêve et réalité, entre vie et mort.

Livre : Francis Ford Coppola

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Francis Ford Coppola est un réalisateur à part parmi les cinéastes de sa génération, même pendant la période que l’on nomme, a posteriori, Le nouvel Hollywood. Un peu plus âgé que ses camarades, il avait déjà réalisé une poignée de films dans les années 60, notamment au sein de l’écurie Corman, et son premier succès, Le Parrain, a été le précurseur des blockbusters – sans en être vraiment un. Des années 70 prolifiques, puisque suivront une palme d’or en 1974 pour Conversation secrète, suivit la même année de l’immense Le Parrain II. Et pour clore la décennie, rien de mieux que le titanesque Apocalypse Now, qui reçut lui aussi une palme d’or – Coppola, qui a la réputation d’être alors un génie mégalo, n’est pas à ça près.

Cannes 2016 : nos Palmes d’or préférées

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La compétition de l'édition 2016 du Festival de Cannes débute demain matin à 8h30 avec Rester Vertical de Alain Guiraudie, premier film français à...

Trois derniers finalistes pour le rôle du jeune Han Solo

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Après une longue série d'auditions, il reste trois noms en lice pour succéder ou, plus précisément, devenir le prédécesseur de Harrison Ford dans le...

Décès de la scénariste Melissa Mathison

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Quelle triste semaine pour les scénaristes ayant laissé leur marque dans l’Histoire du cinéma au début des années 1980 ! Deux jours après la mort de l’Anglais Colin Welland, c’est la scénariste américaine Melissa Mathison qui nous a quittés hier à Los Angeles. Elle était âgée de 65 ans.

Festival de Deauville 2015 : hommage à Keanu Reeves

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  Le 41ème Festival du film américain de Deauville, rendra un hommage à l'acteur & producteur américain Keanu Reeves. Eternel Neo de Matrix, Jonathan Harker de Dracula ou chevalier Danceny...

Critique : Le Parrain 3ème partie

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Les débuts de notre culte de l’univers du Parrain ont coïncidé avec la sortie de cette troisième épopée des gangsters suprêmes. A l’époque, nous ne savions pas encore grand-chose du monde créé par Mario Puzo et Francis Ford Coppola, autre que la réputation mythique dont jouissent les deux premiers films des années 1970. Pour l’adolescent cinéphile débutant que nous étions alors, Le Parrain 3ème partie était la porte d’accès à une saga familiale aux proportions tragiques, un film majestueux injustement dénigré par la critique et ignoré par le public.

Critique : Fitzcarraldo

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On peut voir la folie à l’œuvre dans cette épopée démesurée, qui ne conte pas seulement l’odyssée d’un homme obsédé par une idée fixe, mais qui est également elle-même la source de légendes abracadabrantes sur l’un des derniers chapitres de la collaboration diabolique entre un acteur et un réalisateur. Prix de la mise en scène au festival de Cannes, Fitzcarraldo mène brillamment au paroxysme cet amour-haine entre Kinski et Herzog, sur fond d’une histoire bien de son temps – les années 1980 – et pourtant animée d’une majesté universelle.