Critique : Blaga’s lessons
Avec "Blaga's lessons", le réalisateur bulgare Stephan Komandarev termine brillamment sa trilogie sociale commencée il y a 7 ans.
Critique Express : Border line
Un huis clos bref et intense.
Critique : Monkey Man
Si la démarche de Dev Patel, derrière l’écriture du film, la réalisation et jusqu’à la réception de la majorité des grosses tatanes, est résolument touchante ; elle ne changera pas ce qu’est “Monkey Man”: John Wick dans la culture indienne.
Critique : N’avoue jamais
Depuis le milieu des années 1980, Sabine Azéma et André Dussollier font partie des couples mythiques du cinéma français. Dix ans après leur dernière participation à l'univers de leur réalisateur attitré Alain Resnais dans Aimer boire et chanter et cinq ans après avoir rempilé chez Etienne Chatiliez en tant que parents impatients de voir leur fils Tanguy voler de ses propres ailes, ils font de nouveau équipe dans N'avoue jamais.
Critique Express : Etat limite
Passionnant à regarder, souvent émouvant.
Critique : De son vivant
Y a-t-il un genre plus casse-gueule que celui du drame de maladie ? D'entrée de jeu, l'issue en est certaine, puisque peu importe la pathologie, elle s'avère toujours plus forte en fin de compte que toutes les bonnes volontés réunies. Dès lors, il ne s'agit que d'aménager la peine des proches qui voient leur bien-aimé périr à petit feu et de rendre la peur de mourir du principal intéressé à peu près soutenable.
Critique : Civil War
Pour l'instant, nous suivons d'un œil mi-amusé, mi-terrifié le cirque autour de l'élection présidentielle aux États-Unis en novembre prochain. Le retour de l'ancien président ignoble aux affaires paraît encore relever de l'utopie cauchemardesque. Mais nous avons bien appris notre leçon de 2016 et considérons désormais que le peuple américain est tout à fait capable d'opérer le pire des choix.
Critique : Le silence de Sibel
Pourquoi "Le silence de Sibel", film d'une grande force produit en 2021, a-t-il mis aussi longtemps pour arriver sur nos écrans, la question mérite d'être posée.
Critique : Première affaire
Une belle réussite pour un premier long métrage.
Critique : Ici et là-bas (Ludovic Bernard)
D'un point de vue politique, la Françafrique peut être considérée comme moribonde. A moins que cette construction post-coloniale n'existe plus que dans la tête de politiciens et autres décideurs français, atteints du syndrome pernicieux de la nostalgie d'une époque clairement révolue. Au cinéma, elle risque d'avoir encore de beaux jours devant elle, si l'on se réfère à des films en apparence aussi inoffensifs que Ici et là-bas.
Critique : Le Mal n’existe pas
Aussi audacieux qu’hypnotisant, Le Mal n’existe pas confirme, si c’était nécessaire, la richesse de l’écriture presque symphonique d’un des auteurs les plus originaux, précis et fascinants de ces dernières années.
Critique : Borgo
"Borgo" est tout aussi excellent que "La fille au bracelet".



















