Test Blu-ray : Les chiens

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Les chiens propose au spectateur d’assister à la lente montée de la violence prenant place au cœur d’une agglomération étrangement vide, dépeuplée, « en travaux »...

Test Blu-ray : Allan Quatermain et la Cité de l’or perdu

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Allan Quatermain et la Cité de l'or perdu développe toujours un esprit « serial » en mode décalé et volontiers potache, mais le film ne verse pas dans la même frénésie de rebondissements que le premier épisode.

Test Blu-ray : Sunday in the country

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Ces voyous sont venus ici pour échapper à la police, ils sont prêts à tout. Ils nous auraient tué tous les trois et pris la voiture si je n'avais pas tué le premier. (…) J'ai toujours su protéger ce que je possédais moi-même. J'ai jamais eu besoin de personne

Test Blu-ray : Kull le Conquérant

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On pourrait discuter des heures des défauts de Kull le Conquérant, mais à quoi bon ? D'entrée de jeu, autant dire que pour apprécier à sa juste valeur un film tel que celui-ci, mieux vaut sortir les packs de bière... HEAVY METAL !

Test Blu-ray : Black christmas

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Sorti sur les écrans courant décembre 2019, Black christmas avait réuni un peu moins de 128.000 spectateurs dans les salles françaises. Si ces chiffres n'ont certes rien d'extraordinaire, on peut néanmoins parler de résultats assez corrects si l'on considère que la période est généralement plutôt trustée par les divertissements familiaux, et que cette nouvelle production Blumhouse nous arrivait auréolée d'une réputation extrêmement peu flatteuse.

Test Blu-ray : Sans filtre

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Après avoir obtenu la Palme d’Or en 2017 avec The Square, excellente critique du monde de l’art contemporain, Ruben Östlund s’attaque maintenant aux très grandes fortunes avec Sans filtre, un jeu de massacre égratignant la Jet Set...

Test Blu-ray 4K Ultra HD : 300

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Détendez-vous, les allergiques au cinéma d’action et/ou à la surenchère d’effets spéciaux numériques : 300 est juste un roman graphique qui prend vie sur le grand écran.

Test Blu-ray : Downton Abbey – Le film

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Contrairement à ce qu'on aurait pu penser à priori, la série Downton Abbey créée en 2010 par Julian Fellowes n'était pas uniquement conçue et fabriquée à destination de ceux que l'on appelle affectueusement les « séniors ». En effet, au fil de ses six saisons, on avait pu découvrir que sous ses atours de série à papy et mamie se cachait en réalité une richesse insoupçonnée, qui nous avait finalement laissé un goût de trop peu au terme de la dernière saison du show : nous avions ainsi fait nos adieux à la série avec une émotion non dissimulée à l’issue de sa sixième saison, en pensant néanmoins que cette dernière finirait par revenir, sous la pression populaire, sous sa forme originelle ou sous une autre.

Test Blu-ray : Black Journal

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Si certaines actrices semblent éprouver des difficultés à supporter le poids des années et courent après la jeunesse éternelle à grands renforts d'injections et de modifications corporelles, d'autres au contraire ont su aborder leur vieillissement avec une certaine sérénité. Véritable sex symbol dans les années 40, Shelley Winters (1920-2006) a par exemple parfaitement su faire évoluer sa carrière en parallèle avec l'image qu'elle renvoyait d'elle-même. Ainsi, au tournant des années 70, l'actrice a su accepter l'altération naturelle de son physique et a fait le choix habile de composer avec sa carrure et ses traits de femme de 50 ans, ce qui pourra bien sûr ne pas être du goût de tout le monde, surtout en ces temps où l'on juge si aisément du physique des acteurs et surtout des actrices, dès qu'il ne rentre plus dans la « norme » imposée par les médias : on a ainsi pu récemment lire, de la part d'un journaliste sérieux et très réputé, que « son volume était à peu près du même calibre que celui de Gérard Depardieu aujourd'hui ». L'élégance à la Française... Si on est loin de faire dans le politiquement correct sur critique-film.fr, on avoue avoir été un peu surpris à la lecture de ce passage aux doux relents de « grossophobie » – qui n'a pas été écrit par Eric Zemmour mais par un critique ayant contribué aux grandes heures d'une revue culte des années 80. Ceci dit, on ne doute pas que ledit passage ne manquera pas d'être édité / censuré dans les prochains jours par le site l'ayant publié...

Test Blu-ray : F.I.S.T.

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F.I.S.T. aborde de front la période de la « Grande Dépression », et le scénario n’hésite pas à souligner les liens les plus sombres entre capitalisme et autorités publiques : la corruption et le crime en général rongent la société, profitant des failles d’un pays alors en proie à des mutations littéralement sismiques.

Test Blu-ray : Bianco Apache

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Bianco Apache est un western spaghetti sorti sur les écrans français à l’été 1987, deux mois avant Scalps, qui fut à priori tourné en même temps. Il s’agit d’un spagh’ extrêmement tardif...

Test Blu-ray : Dalva

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Vue l’histoire racontée dans le film, il aurait pu être sordide et malsain : il est généreux, lumineux et émouvant.

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Les sorties du 1er mai 2024

Pour une semaine qui commence avec un jour férié et qui se termine la veille d'un autre, avec tout ce que cela permet d'espérer en termes de petit coup de fouet de fréquentation pour les séances du mardi soir, le programme des sorties cinéma de ce début du mois de mai n'a rien d'exceptionnel.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Vermines

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Contre toute attente, Vermines semble avoir convaincu à peu près tout le monde, des fanboys français déjà conquis d’avance aux critiques les plus exigeants. Le film sort aujourd'hui au format Blu-ray 4K Ultra HD.

De retour en salles au mois de mai 2024

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En toute probabilité, on a déjà dû mettre à contribution le fameux dicton sur le mois de mai, lors de l'une de nos chroniques mensuelles sur les ressorties il y a un, deux ou trois ans. Par conséquent, on se limitera au conseil de faire de votre mieux, afin d'honorer le travail toujours aussi recommandable des vaillants distributeurs de films de patrimoine.

Critique Express : Border line

Un huis clos bref et intense.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Le Festin nu

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Qu’on aime le film ou pas, que l’on apprécie le cinéma de David Cronenberg ou pas, il convient dans tous les cas de reconnaître que Le Festin nu demeure, même plus de trente ans après sa sortie, un putain de trip sur celluloïd qui n’a pas pris une ride.