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Jean-Jacques Corrio

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Jean-Jacques Corrio, rédacteur. Découvrir tous ses articles.

Critique : Gaz de France

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Il y avait la place pour quelque chose de plus déjanté, pour un film s'inspirant, par exemple, du "nonsense" britannique à la Monty Python. Dommage : on est passé à côté et le film n'arrive que rarement à décoller !

Critique : Je vous souhaite d’être follement aimée

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A la vision de "Je vous souhaite d'être follement aimée", on ne peut s'empêcher d'être partagé entre deux sentiments : d'un côté, le sentiment plaisant d'avoir vu un film aux qualités indéniables et présentant même un certain nombre de scènes bouleversantes de vérité ; de l'autre, celui, frustrant, d'être tout simplement passé à côté d'un grand film !

Critique : Les Huit salopards

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La deuxième incursion de Quentin Tarantino dans l'univers du Western est beaucoup plus réussie que la première. Même si on peut tiquer face à quelques scènes de violence trop appuyées, il est probable que la majorité des spectateurs arrivera à les digérer et que seront encore plus nombreux celles et ceux qui se régaleront à l'écoute des dialogues savoureux que nous distille le réalisateur tout au long du film. Quant à savoir s'ils se régaleront de la musique de Morricone, à eux de décider !

Critique : Je compte sur vous

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La description des arnaques pratiquées par le héros de "Je compte sur vous" lasse très vite le spectateur et la comédie familiale construite à côté ne parvient jamais à vraiment décoller. Seul, le jeu des comédiennes arrive à surnager.

Critique : Hector

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Grâce à un scénario solide qu'il a lui-même écrit, grâce une réalisation sachant générer l'émotion sans verser dans le pathos et grâce à la prestation pleine de vérité et de sensibilité de Peter Mullan, Jake Gavin a pleinement réussi son premier film en tant que réalisateur.

Critique : L’étreinte du serpent

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La présence de "L'étreinte du serpent" dans la sélection de la Quinzaine des Réalisateurs de Cannes 2015, couronnée par l'obtention de l'Art Cinema Award, ainsi que le bon accueil réservé par le public cannois, justifiaient qu'un distributeur s'intéresse à ce film et le présente sur nos écrans.

Critique : Au-delà des montagnes

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On ne peut que se féliciter de voir Jia Zhang Ke abandonner les effets d'hyper violence empruntés à Takeshi Kitano et Quentin Tarantino, effets qui n'ont pas leur place dans son cinéma et qui avaient plombé "A Touch of Sin". En mariant cette fois ci son cinéma social à la romance et au mélodrame, Jia Zhang Ke se rapproche de Zhang Yimou dans le style tout en continuant son observation critique de la Chine contemporaine.

Critique : A peine j’ouvre les yeux

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On se sent gêné de ne pas pleinement adhérer au premier long métrage d'une jeune réalisatrice tunisienne, d'autant plus que le sujet choisi était plein d'intérêt. On aurait souhaité se passionner davantage pour le sort de Farah, on aurait aimé se révolter à ses côtés, on aurait dû être ému, mais la maladresse de la réalisation, combinée à celle du scénario, rend vite le spectateur presque indifférent à ce qui se passe sur l’écran.

Test DVD : Coffret – L’Intégrale de Ruben Östlund

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C'est grâce à sa présence dans de nombreux festivals que, petit à petit, le réalisateur suédois Ruben Östlund a réussi à prendre une place importante dans le cinéma d'auteur européen. Alors que Noël approche, BAC Films a eu l'excellente idée de sortir un coffret de 4 DVD représentant l'intégrale de Ruben Östlund, en l'occurrence ses 4 long-métrages, dont 2 sont inédits dans notre pays, un moyen-métrage et 2 court-métrages, plus un certain nombre de "bonus".

Festival : RCC 2015, dimanche

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Lorsqu'un Festival ne mettant que huit films en compétition en présente trois qui s'avèrent excellents ("La Passion d'Augustine", "A Second Chance" et "Hector"), on peut déjà considérer que le bilan est bon.

Festival : RCC 2015, cérémonie de clôture

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C'est "Hector", le premier film du photographe britannique Jake Gavin, qui a obtenu le Grand Prix du Jury : le film est excellent, le choix ne peut donc guère être discuté, même si on peut regretter que A Second Chance, le film de Susanne Bier, reparte bredouille des RCC. En fait, avec ses rebondissements inattendus, c'était sans doute ce film qui présentait le scénario le plus riche et le plus intéressant.

Festival : RCC 2015, vendredi

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"A peine j'ouvre les yeux" est l'exemple type du film qu'on aurait aimé aimer mais qui, malheureusement, déçoit profondément : on devrait se passionner pour le sort de Farah, on devrait se révolter à ses côtés, on devrait être ému, mais la maladresse de la réalisation, combinée à celle du scénario, rend vite le spectateur presque indifférent à ce qui se passe sur l'écran.