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Critique : The Little Stranger

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Où le chemin d'une carrière peut-il bien mener, une fois que la consécration est arrivée de façon impromptue ? Rester fidèle à son style d'origine ou suivre l'appel de l'argent, tel a dû être le dilemme face auquel s'est trouvé Lenny Abrahamson, suite à sa nomination à l'Oscar du Meilleur réalisateur pour Room.

Test Blu-ray : Le Labyrinthe – Le remède mortel

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Au sein de la profusion de films de « djeun’s » qui occupent régulièrement les salles des multiplexes autant que les esprits de notre fougueuse jeunesse, la trilogie du Labyrinthe occupe une place un peu particulière.

Test DVD : Kids in love

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Le mystère du « jeune » a toujours intrigué les cinéastes, qui cherchent à en percer les énigmes, à saisir l’état d’esprit qui émane de cette période vague et indéfinie (il n'existe pas de définition « officielle » de l'âge de la jeunesse), et à retranscrire sur un écran de cinéma le fameux phénomène du « coming of age » ou du passage à l’âge adulte, cette indicible progression vers l'autonomie et la maturité. Avenir, amour, découverte de la sexualité, questions existentielles et lutte entre les générations font donc partie des thèmes que l’on retrouve dans de nombreux films depuis des années : on pense notamment –forcément – à La fureur de vivre (Nicholas Ray, 1955), au cinéma de Larry Clark et à Kids (1995) en particulier, ou encore, de notre côté de l’Atlantique, à des films tels que La gifle (Claude Pinoteau, 1974), Diabolo menthe (Diane Kurys, 1977) ou encore, plus récemment, Bang Gang (une histoire d'amour moderne) (Eva Husson, 2015). Ce ne sont là que quelques exemples parmi les plus évidents sur des centaines et des centaines de films explorant ce thème du « coming of age ».

Test Blu-ray : The revenant

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On se souvient d’Alejandro González Iñárritu pour Amours chiennes et pour 21 grammes, pour ce goût du film d’auteur choral aux personnages forts et dont les tourments étaient explorés sans complaisance. Au début des années 2000, nous pensions alors découvrir un cinéaste dont le discours ne cesserait de nous questionner. Vint alors Babel et sa vulgarisation sauvée par un aspect solaire et un dispositif un peu superficiel (l’effet papillon), mais ne manquant pas d’un certain charme – osons – d’une certaine poésie. Depuis l’année dernière et passé un Biutiful plus intéressé par un paratexte misérabiliste que par un texte qui ne disait plus grand chose, nous découvrons un nouvel Iñárritu. Cette nouvelle version de lui-même, c’est celle d’un cinéaste performer, qui n’a pas manqué de séduire le jury des Oscars avec Birdman et son plan-séquence d’1h59 qui fut – entre autres – récompensé des deux plus hautes distinctions de la compétition (meilleur film et meilleur réalisateur). Après une courte année, le mexicain entend bien capitaliser et s’inscrire dans une nouvelle performance avec The revenant, un survival en solitaire prenant place dans l’Amérique coloniale.

Critique : The Revenant

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On se souvient d’Alejandro González Iñárritu pour Amours chiennes et pour 21 grammes, pour ce goût du film d’auteur choral aux personnages forts et dont les tourments étaient explorés sans complaisance. Au début des années 2000, nous pensions alors découvrir un cinéaste dont le discours ne cesserait de nous questionner.

Test Blu-ray : Le Labyrinthe

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Succès surprise de la fin 2014, Le Labyrinthe est la dernière production 20th Century Fox principalement à destination des djeun’s. Il est adapté du premier tome du cycle L’épreuve de James Dashner.

Critique : Le Labyrinthe

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Des adolescents dans un univers futuriste, contraints à lutter jusqu’à la mort, ça vous rappelle quelque chose ? Oui, Le Labyrinthe est un nouveau récit d’anticipation et d’apprentissage guerrier à la Hunger Games, avec castes qui s’opposent et/ou font alliance contre cet ennemi commun : l’Adulte…

BAFTA 2014: Lea Seydoux en compétition

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Les nominations des BAFTA, les équivalents anglais des Oscars, seront annoncées ce mercredi 8 janvier. L'Académie a déjà annoncé la liste des cinq comédiens qui vont concourir pour le prix du meilleur espoir alias le Rising Star Award. Chaque année depuis 2006, cinq jeunes acteurs et/ou actrices révélés au grand public, au cinéma ou à la télévision, sont départagés par un vote du public.

Critique : Les Miller, une famille en herbe

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David Burke est un dealer à la petite semaine qui se contente de vendre sa marchandise à des chefs cuisiniers et des mamans accompagnant leurs fils au football, mais pas à des ados – car, au fond, il a quand même des principes ! Alors que tout devrait se passer au mieux pour lui, les ennuis s'accumulent… Préférant garder profil bas pour des raisons évidentes, David comprend, à son corps défendant, qu'on peut subir la pire injustice même lorsqu'on est animé des meilleures intentions : tentant de venir en aide à des jeunes du quartier, il se fait agresser par trois voyous qui lui volent sa marchandise et son argent. Il se retrouve dans une situation des plus délicates puisqu'il doit désormais rembourser son fournisseur, Brad.Afin d'éponger sa dette – et de rester en vie –, David n'a d'autre choix que de jouer dans la cour des grands en se rendant au Mexique pour ramener une importante cargaison de drogue à Brad. Réussissant à convaincre ses voisins – Rose, une strip-teaseuse cynique, Kenny, qui aimerait bien tester la marchandise et Casey, une ado débrouillarde couverte de tatouages et de piercings – de lui venir en aide, il met au point un plan censé être infaillible : avec ses complices qu'il fait passer pour sa femme et ses deux grands enfants, il met le cap sur le Mexique au volant d'un camping-car flambant neuf le jour de la fête nationale. Ce week-end risque bien d'être explosif…