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Tag: Raymond Pellegrin

Test Blu-ray : La Peur règne sur la ville

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Sorti sur les écrans italiens en 1976, La Peur règne sur la ville s’inscrit dans une « tradition » encore relativement récente à l’époque : celle du « poliziottesco » ou néo-polar italien, également connu sous le nom de polar bis italien.

Test Blu-ray : Section de choc

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Sorti sur les écrans du monde entier en 1976, Section de choc appartient à la catégorie du « poliziottesco » ou néo-polar italien, également connu sous le nom de polar bis italien – un sous-genre du cinéma italien extrêmement populaire dans les 70's.

Test Blu-ray : Le Bar du téléphone

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En partie centré sur le fossé qui séparait les truands de l’ancienne génération des chiens fous de la jeune garde, Le Bar du téléphone s’inscrit dans le genre du néo-polar à la française, mais semble encore ancré dans la tradition du policier français de la vieille école.

Test Blu-ray : Viva la vie

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Viva la vie, film de Claude Lelouch sorti en France au printemps 1984, est probablement né des angoisses de la Guerre Froide, et plus précisément de l’exercice Able Archer 83, mené par l'OTAN en novembre 1983.

Test Blu-ray : Nous sommes tous des assassins

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Faisant partie du « cycle judiciaire » (1950-1955) de la carrière d’Andé Cayatte, Nous sommes tous des assassins est un réquisitoire contre la peine de mort d’une modernité impressionnante. S’il fallait juste un élément pour nous en convaincre, rappelons-nous que la peine capitale n’a été abolie en France qu’en 1981, soit presque trente ans après la sortie du film sur les écrans. « Au dessus du jury,des magistrats, qu'un seul homme puisse tout remettre en question… N'est-ce pas l'aveu qu'on est pas tellement sûr d'avoir bien jugé ? » demande ainsi le personnage incarné par Antoine Balpêtré à la veille de son exécution, alors qu'on évoque une hypothétique grâce présidentielle.

Test Blu-ray : L’homme qui valait des milliards

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Même si elle n’aura été que de courte durée (deux films et puis c’est tout), la collaboration entre Michael Boisrond –réalisateur– et Frederick Stafford –acteur– aura donné naissance à deux excellents films d’aventures. En effet, un an à peine après avoir enchanté le monde avec Atout cœur à Tokyo pour OSS 117 (un des meilleurs opus de la saga des années 60), le duo se retrouvait déjà en 1967 sur l’affiche de L’homme qui valait des milliards.