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Test Blu-ray : Dominique – Les Yeux de l’épouvante

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Dominique – Les Yeux de l’épouvante mélange les codes du thriller de machination des années 50/60 et ceux du conte moral et horrifique popularisé par les publications EC Comics des années 50.

Test Blu-ray : Inseminoïd

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Inseminoïd s'inspire très nettement d'Alien, du moins dans sa première partie, même si l'intrigue dérive finalement vers un deuxième acte qui rappellera d'autres films, notamment en raison de la présence de « bébés monstres »...

Test Blu-ray : Coffret Hammer – Tome 2 – 1970-1976 :...

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Le Coffret Hammer - Tome 2 - 1970-1976 : Sex & Blood est disponible chez Tamasa Diffusion depuis le 30 novembre. Edition limitée et numérotée à 2.000 exemplaires, il nous propose 7 films produits par le studio Hammer en Blu-ray et DVD.

Test Blu-ray : Sueur froide dans la nuit

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Si on peut parfois lire que Sueur froide dans la nuit, réalisé par Jimmy Sangster en 1972, est une contribution tardive à la vague des « mini-Hitchcock » produits par la Hammer au lendemain du carton de Psychose, il semble permis de relativiser cette assertion.

Test DVD : Doomwatch

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Durant les années 60/70, deux sociétés de production régnaient en maitres quasi-absolus sur le petit monde de l’horreur gothique au Royaume-Uni : il s’agit bien sûr de Hammer et Amicus. Néanmoins, si elle n’a jamais été réellement considérée comme une concurrente sérieuse pour les deux sœurs ennemies, la boite de production appelée Tigon, ou de son nom complet Tigon British Film Productions est néanmoins parvenue à mettre sur les rails une série non négligeable de films fantastiques entre 1968 et 1972 : Le vampire a soif, Le grand inquisiteur, La maison ensorcelée, La maison de l'épouvante, La vampire nue (du français Jean Rollin), Le monstre des oubliettes, La nuit des maléfices et enfin l’étrange Doomwatch qui nous occupe aujourd’hui.

Test Blu-ray : L’étrangleur de Rillington Place

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En 1968, Richard Fleischer signait avec L’étrangleur de Boston un film qui marquait le renouveau du thriller, un trip violent et hypnotique, très américain, avec lequel le cinéaste parvenait à se débarrasser des oripeaux du « Film Noir » qui avait régné sur le genre jusqu’à la fin des années 50. Refusant de surfer sur le succès de son film, le réalisateur part tourner au Royaume-Uni en 1971 10 Rillington Place, adaptation d'un sombre fait divers ayant défrayé la chronique en Angleterre à la fin des années 50. Pour sa sortie en France, le film sera renommé L'étrangleur de Rillington Place, afin de dresser une passerelle entre ces deux « étrangleurs »... Mais la comparaison s'arrête là ; il s'agit en effet de deux films radicalement différents.