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Test Blu-ray : Le Chat noir

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Pour les amateurs d'horreur qui voudraient découvrir la façon dont le style de Lucio Fulci s'est développé au début des années 80, Le Chat noir ne constitue peut-être pas la meilleure porte d’entrée.

Test Blu-ray : Femina Ridens / Le Duo de la Mort

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Absolument unique et inclassable, le film de Piero Schivazappa Femina Ridens (également connu sous le titre Le Duo de la mort) inscrit son intrigue dans une logique sadomasochiste. Disponible en Blu-ray chez Frenezy Éditions !

Test Blu-ray 4K Ultra HD : La Maison près du cimetière

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La narration de La Maison près du cimetière joue clairement la carte de l’atmosphère. D’ailleurs, si on excepte les enfants au cœur du film, les adultes semblent complètement déconnectés de la réalité...

Test Blu-ray : Photos interdites d’une bourgeoise

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A la lisière entre le whodunit et le récit de machination, Photos interdites d’une bourgeoise est un Giallo singulier et inhabituel... Et maintenant disponible en Blu-ray chez Le Chat qui fume.

Test Blu-ray : Le conseiller + Napoli spara

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Pour le numéro #35 de sa collection « Make my day », Jean-Baptiste Thoret a décidé de se pencher sur le polar italien des années de plomb ou poliziottesco, avec Le conseiller (Alberto De Martino, 1973) et Napoli spara (Mario Caiano, 1977).

Test Blu-ray : Une hache pour la lune de miel

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On l’a déjà évoqué à l’occasion de notre test Blu-ray de La baie sanglante : si Mario Bava peut – et doit – être considéré comme un des pères fondateurs du giallo, l’explosion populaire du genre semble l’avoir laissé de marbre, à tel point qu’avec ses films du début des années 70, il semblait plutôt volontiers s’amuser à prendre le contre-pied du genre, à en contourner les codes afin de ne point se laisser influencer par la « mode » du moment et, surtout, de surprendre le public. Ainsi, si le giallo était le plus souvent conçu sur le modèle du whodunit, avec un tueur dont l’identité ne serait révélée qu’à la toute fin de l’intrigue, Une hache pour la lune de miel s’ouvre au contraire sur un double meurtre perpétré par le héros du film (Stephen Forsyth), et Bava ne fera pas le moindre mystère sur le fait qu’il soit effectivement coupable, puisque ce dernier confessera ses crimes ainsi que d’autres dès la séquence suivante… L’ambiguïté n’est de fait absolument pas permise, le personnage évoquant avec un grande lucidité ses difficultés à refréner ses pulsions meurtrières, qui semblent intrinsèquement liées à un vêtement bien particulier : la robe de mariée. Et si on considère que le tueur tient une « maison de couture » spécialisée dans les robes de mariées, sa psychose ne semble pas là de s’arranger.