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Tag: Ari Aster

En librairie de cinéma depuis le mois d’octobre 2022

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Les éditeurs de livres de cinéma ne connaissent pas la crise. Ni visiblement l'inflation, puisque le prix moyen de leurs ouvrages reste aux alentours de vingt euros. En effet, coincé quelque part dans le no man's land entre la rentrée littéraire et les bonnes affaires de Noël, le mois d'octobre en impose, grâce à ses près de cinquante sorties côté français et une dizaine de moins à l'étranger.

Champs Elysées Film Festival 2022 : c’est parti !

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11e édition de cet événement cinématographique annuel qui réunit le meilleur du cinéma indépendant des films français et américains, dans un partenariat avec les...

Test Blu-ray : Midsommar – Director’s cut

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On a découvert Ari Aster l’année dernière avec Hérédité, un film d’horreur aux partis pris esthétiques tellement radicaux qu’il a, lors de sa sortie, largement divisé la communauté des amateurs de cinéma fantastique à travers le monde. Très froid et intellectuel, ce premier film n’en proposait pas moins une approche du genre pour le moins viscérale, qui en a fait pour beaucoup de cinéphiles le meilleur film découvert sur grand écran durant l’année 2018.

Test Blu-ray : Hérédité

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Depuis quelques années, on tombe régulièrement sur des films d’horreur faisant le « buzz » sur Internet et les réseaux sociaux. Des films montés en épingle et annoncés à grands renforts de publicité comme « le choc horrifique de l’année », « le film d’horreur de la décennie », etc, etc. Hérédité est de ceux-là ; sur l’affiche française, on pouvait lire deux extraits de presse : « Le film d’horreur le plus fou de ces dernières années » (USA Today) et « L’exorciste de cette génération » (Time Out New York). Bien sûr, ce genre de déclarations qui claquent a de quoi enthousiasmer le spectateur, mais sans vouloir jouer systématiquement à l’empêcheur de tourner en rond ni d’avantage aller à l’encontre de ce que déclare généralement la presse, on a tout de même également souvent tendance à se méfier de ce genre de buzz ou d’engouement unanime. Ainsi, si l’on revient quatre ans en arrière, les films d’horreur ayant créé le buzz ces dernières années sont It follows (David Robert Mitchell, 2014), The witch (Robert Eggers, 2015), Grave (Julia Ducournau, 2016) et Get out (Jordan Peele, 2017). Et sans vouloir forcément faire de mauvais esprit – à titre personnel, à mon humble avis de rédacteur, tout çaaaaa / je prends tout un tas de précautions verbales parce qu’attention, l’ensemble de la rédaction est bien loin de partager mon opinion tranchée sur ces quatre longs-métrages – on n’est pas loin d’en considérer au moins trois sur les quatre comme de bonnes grosses baudruches bien surestimées, dont le seul intérêt ne réside au fond que dans une facture technique et visuelle intéressante (si ce n’est superbe). Qu’on se rassure néanmoins : Hérédité n’est clairement pas de ce bois-là.