Green Lantern
États-Unis : 2011
Titre original : Green Lantern
Réalisateur : Martin Campbell
Scénario : Greg Berlanti
Acteurs : Ryan Reynolds, Blake Lively, Peter Sarsgaard
Distribution : Warner Bros. France
Durée : 1h54
Genre : Action
Date de sortie : 10 août 2011
3/5
Avec Green Lantern, DC Comics et Martin Campbell (Hors de contrôle, Casino Royale…) tentent une percée parmi les héros Marvel, présents en nombre dans nos salles depuis quelques temps. Un pari risqué quand on sait qu’il s’agit du premier long métrage tiré d’un héros DC Comics en dehors des aventures de Batman et Superman. Ce justicier tout de vert vêtu, peu connu du grand publique, sera-t-il à la hauteur ?
Dans un univers aussi vaste que mystérieux, une force aussi petite que puissante est en place depuis des siècles : des protecteurs de la paix et de la justice appelés Green Lantern Corps, une confrérie de guerriers qui a juré de maintenir l’ordre intergalactique, et dont chaque membre porte un anneau lui conférant des super-pouvoirs. Mais quand un ennemi du nom de Parallax menace de rompre l’équilibre entre les forces de l’univers, leur destin et celui de la Terre repose sur leur dernière recrue, le premier humain jamais choisi : Hal Jordan.
Hal est un pilote d’essai talentueux et imprudent, mais les Green Lanterns ont un peu de respect pour les humains, qui n’ont jamais exploité les pouvoirs infinis de l’anneau auparavant. Hal est clairement la pièce manquante du puzzle et il possède, en plus de sa détermination et de sa volonté, une chose qu’aucun des autres membres n’a jamais eu : son humanité. Soutenu par son amour d’enfance, le pilote Carol Ferris, Hal doit rapidement maîtriser ses nouveaux pouvoirs et vaincre ses peur, pour prouver qu’il n’est pas que la clé pour vaincre Parallax… mais peut-être le plus grand Green Lantern de tous les temps.
Une introduction maladroite
Nouveau superhéros oblige, Martin Campbell a dû se plier à la tâche compliquée de l’introduction. Bien gérée au début, elle s’avère cependant un peu courte, et ne permet pas à des non initiés de comprendre totalement la nature des pouvoirs dont il est question, que ce soit du côté des super-gentils ou du méga-vilain. La mise en place est donc quelque peu laborieuse, bien que l’histoire n’ait rien de véritablement compliqué. Mais on finit tout de même par s’y retrouver, et l’univers s’installe tranquillement.
Des effets spéciaux et une mise en scène efficaces
Après la bande-annonce et les quelques images diffusées, il était logique de s’attendre à du vert, du vert et… Du vert. Mais malgré des Green Lantern aux allures de jouets verts fluos avec leurs costumes qui clignotent, Martin Campbell a réussi à rester sobre dans les décors, si bien que le tout reste visuellement agréable et pique moins les yeux que prévu. Les effets spéciaux sont à la fois bons et mauvais (bonne qualité, mais quelques défauts, notamment d’incrustation) et cherchent à entretenir l’ambiance plus qu’à nous en mettre plein la vue, si bien que le film ne repose pas complètement là-dessus et peut, par exemple, s’appuyer sur une mise en scène efficace.
L’amourette déborde sur le reste de l’histoire
On est rapidement séduit par Hal Jordan (Ryan Reynolds), grâce à son côté « humain » qui fait tout l’intérêt du personnage. Amusant, irresponsable, maladroit et visiblement peu mature, il accumule les défauts, ce qui le rend des plus ordinaires, sans pour autant tomber dans le ridicule. Mais si le personnage plait, le scénario est décevant, surtout par l’importance qu’il donne à l’amourette entre le héros vert fluo et la charmante Carol Ferris (Blake Lively), qui déborde un peu trop sur le reste de l’histoire. Pourtant, les idées sont intéressantes : des défenseurs intergalactiques occupant Oa, la planète QG, l’apprentissage laborieux du héros humain – on regrette d’ailleurs qu’il soit si court… Mais les scènes à rallonge de blabla et de flirt sont trop nombreuses et coupent complètement l’action et la version Green Lantern de Hal Jordan. En parallèle, les scènes de combat sont trop vite expédiées et le corps des Green Lantern, bien qu’il apparaisse de manière régulière, ne tient finalement qu’un rôle de figuration alors qu’il aurait pu faire bien plus. Peut-être participeront-ils plus activement au deuxième film, que nous annonce de façon évidente la scène post-générique – restez jusqu’à la fin !
Un casting à la hauteur
Malgré une Blake Lively (The Town, Gossip Girl…) quasiment transparente dans le rôle de Carol Ferris, le casting est à la hauteur de l’évènement. Ryan Reynolds (Buried…) réussit une très bonne prestation dans le rôle de Hal Jordan et s’adapte plutôt bien aux collants verts et à l’humour du héros terrien, tandis que les rôles secondaires sont magnifiquement bien tenus par un grand Mark Strong (Robin des Bois, Les Chemins de la Liberté, L’Aigle de la 9ème Légion…) dans la peau de Sinestro et un Peter Sarsgaard (Night and Day, Esther...) méconnaissable sous les traits du Docteur Hammond.
Résumé :
Je reviens de voir le film et il est pas mal c’est pas le meilleur des film de super héro mais c’est pas mal
Je ne suis pas un grand fan de l’univers DC comics je préfère Marvel car je trouve les héro DC trop puissant ils ont des pouvoir presque imbattable comparé a Marvel
Mais ce film est pas mal et pour une fois la fille amoureuse du super héro n’est pas une cruche vu qu’elle reconnait tout de suite le hero dans son costume