Test Blu-ray : Vampire diaries – L’intégrale de la saison 7
Créée à une époque pas si lointaine où la « bit lit » ou littérature de vampires destinée aux adolescents faisait un tel carton qu’elle avait vu naitre tout un tas d’excroissances au cinéma et à la télévision, la série Vampire diaries s’est interrompue début 2017 au terme de sa huitième saison. Bel exploit si l’on considère que toutes les séries et films mettant en scène des amourettes liées au mythe des vampires se sont éteintes de leur belle mort après le dernier film de la saga Twilight en 2012, pour laisser la place à des séries et films mettant en scène des groupes de jeunes dans des univers d’anticipation (Hunger games, The 100, Divergente, Le labyrinthe…).
Test Blu-ray : Logan
A une époque où le film de super héros est dominé par des impératifs de grand spectacle familial, l'arrivée sur les écrans d'un film tel que Logan tient purement et simplement du miracle.
Test Blu-ray : Supergirl – Saison 1
Depuis la fin des années 90 et l’explosion du genre, une tendance nette est apparue au sein des films de super héros : afin de se démarquer des long-métrages « à l’ancienne », produits dans le moule de Superman (Richard Donner, 1978) durant les années 80, les exécutifs Hollywoodiens ont voulu à tout prix rendre plus sombres et torturés les personnages de justiciers masqués. Au fil des années, le fait d’avoir des héros vêtus de latex coloré tiraillés entre le bien et le mal au sein de films se prenant très au sérieux est même quasiment devenu une espèce de marque de fabrique pour le genre, au point de quasiment en devenir sa propre parodie (on pense à la trilogie de Christopher Nolan consacrée à Batman).
Test Blu-ray : Lego Batman – Le film
On sera clair dès le départ : à l'image de La grande aventure Lego qui nous avait scotché à notre siège en 2014, Lego Batman, c'est purement et simplement 104 minutes de frénésie créative totale et absolue.
Test Blu-ray : Papa ou maman 2
Depuis des années, la famille, de préférence dysfonctionnelle, est au cœur de la comédie française. Qu'il s'agisse de télévision ou de cinéma, les exemples sont innombrables. Papa ou Maman 2 est l'anti-Kramer vs. Kramer...
Test Blu-ray : A la recherche du plaisir
Alla ricerca del piacere sera à coup sûr considéré comme un thriller aux allures de giallo tout à fait recommandable, hyper-esthétisé et bénéficiant de cadrages et de lumières très travaillés, que cela soit dans la représentation de la ville de Venise ou la mise en place des scènes érotiques qui émaillent le métrage.
Test Blu-ray : Split
Dans Split, la mise en scène est en état de grâce, chaque cadrage ou mouvement de caméra étant parfaitement à sa place. Passant de scènes intimistes à des morceaux de bravoure durant lesquels on sent toute la jubilation du maître à filmer.
Test Blu-ray : John Wick 2
Clairement, la tournure esthétique et narrative qu'ont choisi de suivre les auteurs de John Wick 2 risque de diviser les cinéphiles en deux camps irréconciliables : d'un côté nous aurons les déçus, de l'autre, les conquis. Mais les conquis quoi au fait ?
Test Blu-ray : The Bye Bye Man
Ce n'est pas une découverte : les producteurs de cinéma sont de fieffés filous, à qui il ne faudrait jamais laisser la responsabilité du montage final d'une œuvre. Si cette assertion est sans doute à relativiser, la découverte de The Bye Bye Man aura de quoi remettre un peu d'huile sur le feu.
Test Blu-ray : La longue nuit de l’exorcisme
Si les dérives gore et les excès en tous genre ne représentent finalement qu'une petite partie de l'imposante filmographie de Lucio Fulci, beaucoup de cinéphiles résument son œuvre au tournant qu'elle a pris en 1979 avec L'enfer des zombies, et qui se prolongerait grosso-modo jusqu'en 1982.
Test Blu-ray : Le Cercle – Rings
A partir du moment où ils tiennent un concept fort, les japonais ne savent plus s’arrêter ; culturellement, qu’il s’agisse de mangas, de romans ou d’animation, chacune de leurs franchises à succès se transforme presque immuablement en pompe à fric.
Test Blu-ray : Revenger
La série B et Revenger ont permis à Walter Hill de retrouver le chemin des studios, au prix cependant d’une nécessaire adaptation à des méthodes de tournage moins confortables, et à un budget moindre.