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Les réalisateurs auscultent avec beaucoup de savoir-faire.les traditions et les savoirs ancestraux du nord de l'Argentine.

Présenté comme étant une comédie, "Classe moyenne" se révéle très souvent plus lourd que drôle.

Malgré quelques longueurs et quelques maladresses dans la conduite du récit, le côté doux-amer de son film et l'irrésistible attachement qu'on ressent pour ses 2 personnages principaux sont à mettre à l'actif de Pat Boonnitipat et lui permettent, lui qui vient de la réalisation pour la télévision, de réussir son entrée dans le cinéma.

Le fait d'avoir appartenu à la sélection concourant à Cannes pour la Palme d'or est-il forcément un gage de qualité ? La réponse est négative et ce nouveau film de Karim Aïnouz en apporte une nouvelle preuve.

Les réalisatrices ont parfaitement le droit d'être médiocres, même sur des sujets qui leur tiennent à cœur.

Une belle réussite pour un premier long métrage.

De nos jours, où chaque information peut être traitée d'intox, qui ou quoi peut-on croire encore ? Si vous êtes en quête d'un semblant de vérité, dirigez-vous vers les cellules de certains médias du service public, créées spécialement pour venir à bout de la jungle des fumisteries. Sinon, on vous conseille chaudement le nouveau cycle de LaCinetek, en ligne depuis hier.

Ramata-Toulaye Sy souhaitait réaliser un film au caractère universel tout en le plaçant résolument dans la région d'origine de ses parents, et souhaitait aussi montrer de façon détournée la catastrophe climatique qui s'abat sur le continent africain. Malgré un fin un peu trop sibylline, le contrat est rempli !

"Sick of myself", dont on peut penser qu'il lorgne sur le cinéma de Ruben Östlund, est un film qui, malgré une fin moralisante sur l'importance de la vie, arrive à mettre mal à l'aise les spectateurs

Ce film n'est que le deuxième long métrage de Baya Kasmi en tant que réalisatrice mais on la connait bien pour ses activités de scénariste que ce soit sur des films de Thomas Litli et, surtout de Michel Leclerc, son compagnon dans la vie et coscénariste de "Youssef Salem a du succès". On ne peut donc pas s'étonner de retrouver dans ce film l'intelligence comique dont faisait preuve "Le nom des gens" !

un film sur un beau sujet qui, in fine, se révèle profondément ennuyeux.

Bien documenté, bien mis en scène, bien photographié, bien interprété, "Les engagés", premier film de l'écrivaine Emilie Frèche, est à la fois passionnant et instructif.