Accueil Tags Renaud

Tag: Renaud

Test Blu-ray : Shéhérazade

0
Shéhérazade est un de ces films fleurant bon les contes des mille-et-une nuits et la romance historique, qui plus est tourné en Scope et en 70MM : la Haute-Définition des années 60 !

Test Blu-ray : Claude Berri réalisateur – Intégrale 21 films

0
Derrière ses surnoms de « Dernier nabab », de « Parrain », de « Baron » ou de « Pacha » du cinéma français, on comprend bien que la figure de Claude Berri était plutôt quasi-systématiquement assimilée à sa casquette de producteur de films à succès (Tess, L'ours, Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, Bienvenue chez les Ch'tis...). De fait, on en oublie souvent qu'il était un immense amateur d'Art moderne et contemporain, qu'il fut président de la Cinémathèque Française entre 2003 et 2007... Mais aussi qu'il a réalisé 21 films (20 si l'on considère tout comme lui Jean de Florette et Manon des sources comme un seul film en deux épisodes) entre 1967 et 2009. 21 films qui ont cumulé 47 millions d'entrées en France en l’espace d'un peu plus de quarante ans, treize d'entre eux ayant dépassé le million de spectateurs dans les salles obscures.

Intégrale Claude Berri #14 : Germinal (1993)

0
Il est presque impossible de ne pas aborder le sujet d’entrée de jeu : avec son budget titanesque 165 millions de francs en 1993 (qui équivaudraient, si l’on en croit l’INSEE, à environ 33 millions d’euros aujourd’hui), Germinal était, à l’époque de sa sortie, le film le plus cher de l’histoire du cinéma français. Ce budget pharaonique a d’ailleurs énormément contribué à donner à Claude Berri cette image de « dernier Nabab » du cinéma hexagonal, qu’il a trimballé jusqu’à la fin de sa vie. Alors que le film fête cette année ses vingt-cinq ans, que reste-t-il de Germinal aujourd’hui ?

Test Blu-ray : Stars 80, la suite

0
Malgré une petite série de succès publics et critiques occasionnellement rencontrés au fil de sa carrière de producteur et réalisateur, Thomas Langmann est souvent considéré comme un poissard de première, au point d’apparaître comme le « chat noir » du cinéma français, un de ceux dont le nom suffit pour attirer le mauvais œil sur le moindre projet artistique. Au terme d’une longue série d’échecs commerciaux, sa société La petite reine est actuellement en procédure de sauvegarde, visant à étaler les dettes sur une période comprise entre deux et neuf ans, ce qui devrait laisser une chance au producteur de « se refaire ».