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Tag: Mike Flanagan

30 films inédits en salles à redécouvrir pendant le #confinement

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Alors que l'on en a encore au minimum pour trois semaines de confinement, la devise est plus que jamais claire : #RestezChezVous – détendez-vous, faites l'amour, lisez, regardez des films. Pour ce qui nous concerne, regardez des films et lisez-nous, surtout. Depuis plus d'un mois maintenant, les cinémas sont fermés en France, alors c'est cinéma à la maison pour tout le monde.

Test Blu-ray : Doctor Sleep

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Au sein de la profusion insensée de critiques de Doctor Sleep ayant déferlé sur le Net ces derniers mois, on notera une petite tendance – probablement popularisée par un rédacteur de Mad Movies dont les propos auront été paraphrasés par des dizaines de suiveurs – à affirmer que le film de Mike Flanagan aurait littéralement « transcendé » un mauvais roman de Stephen King afin d'en faire un grand film d'horreur. Vous nous permettrez de discuter ces propos, et d'émettre quelques doutes sur le fait qu'autant de blogueurs du dimanche, dont les avis critiques regorgent le plus souvent de fautes d’orthographe et de syntaxe, aient pu ouvrir le moindre livre depuis leur désertion du collège.

Test Blu-ray : Ouija – Les origines

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Dans le petit monde de l’horreur moderne adressée principalement au public pré adolescent, il devient difficile de trouver son compte, entre les innombrables found footages filmés avec les pieds pour faire réaliste, les histoires de maisons hantées et de fantômes invisibles ou les éternels films d’exorcisme toujours prétextes à plus de morale trempée dans l’eau bénite. Dans ce triste contexte, il n’y avait franchement pas de quoi être fébrile à la perspective d’une préquelle à Ouija (lire notre test Blu-ray) sorti en 2015 en France. Cette adaptation purement opportuniste d’une célèbre licence de la société Hasbro n’avait pas eu grand monde pour la défendre, mais avait tout de même réussi à rapporter plus de 100 millions de dollars dans le monde, pour un budget de 5, Jason Blum oblige. Il paraissait donc inévitable que la franchise perdure d’une façon ou d’une autre. Et là, surprise, devant la caméra du plutôt très doué Mike Flanagan, cinéaste apprécié des fans de genre pour quelques films non exploités dans les salles françaises (The mirror, Hush, Before I wake), ce qui s’annonçait comme un simple produit calibré se transforme en petite pépite à l’esprit totalement atypique pour notre époque.

Critique : Ouija : les origines

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Dans le petit monde de l’horreur moderne adressée principalement au public pré adolescent, il devient difficile de trouver son compte, entre les innombrables found footages filmés avec les pieds pour faire réaliste, les histoires de maisons hantées et de fantômes invisibles ou les éternels films d’exorcisme toujours prétextes à plus de morale trempée dans l’eau bénite. Dans ce triste contexte, il n’y avait franchement pas de quoi être fébrile à la perspective d’une préquelle à Ouija sorti en 2015 en France. Cette adaptation purement opportuniste d’une célèbre licence de la société Hasbro n’avait pas eu grand monde pour la défendre, mais avait tout de même réussi à rapporter plus de 100 millions de dollars dans le monde, pour un budget de 5, Jason Blum oblige. Il paraissait donc inévitable que la franchise perdure d’une façon ou d’une autre. Et là, surprise, devant la caméra du plutôt très doué Mike Flanagan, cinéaste apprécié des fans de genre pour quelques films non exploités dans les salles françaises (Oculus, Hush, Before I wake), ce qui s’annonçait comme un simple produit calibré se transforme en petite pépite à l’esprit totalement atypique pour notre époque.

Test Blu-ray : The mirror

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Récit d'ambiance, au caractère assez ambitieux dans son genre, The mirror choisit de suivre un personnage perturbé, sortant d'un hôpital psychiatrique. Rien de neuf ou d'original en soi, sauf si l'on part du principe que ce dernier, guéri, doit gérer avec les psychoses de sa sœur, qui n'a pas été internée et s'avère carrément plus psychotique que lui. Le fantastique ne prenant -dans un premier temps du moins- pas réellement le pas sur le côté « réaliste » de l'intrigue, le film va s'amuser à mélanger les genres, en même temps que le passé, le présent, le réel, le doute et la folie.