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Test Blu-ray 4K Ultra HD : Scream 6

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Avec 140 millions de dollars de recettes à l’international et 540.000 entrées en France, le reboot / requel de Scream a fait le bonheur de la Paramount l’année dernière, et les producteurs n’ont clairement pas laissé le temps entraver leur élan...

Test Blu-ray : Scream (2022)

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Onze ans après Scream 4, sept ans après la mort de Wes Craven, la saga Scream refait parler d’elle, avec un nouveau film, sobrement intitulé Scream, et plus communément appelé Scream 5...

13 Reasons why : La tragédie à l’heure des teen-séries

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13 Reasons Why, la dernière série sur le mal-être adolescent signée Netflix, a récemment provoqué une polémique autour de la question délicate du suicide chez les jeunes. Au fil des treize épisodes qui la composent, la série explore par flash-blacks autant de « raisons » qui ont mené une lycéenne à commettre l'irréparable et qu'elle raconte elle-même par delà la mort, via des cassettes enregistrées avant l'acte et transmises à ses camarades. Glorification du suicide, méconnaissance de sa réalité, mise en scène morbide de soi, la série a surtout choqué parce qu'elle présenterait comme irrésistible cette mécanique auto-destructrice.

Test Blu-ray : Don’t breathe – La maison des ténèbres

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Comme à son habitude, Sony Pictures nous livre avec Don’t breathe – La maison des ténèbres une galette Blu-ray en tous points irréprochable. Le master est d’une superbe précision, affichant un piqué d’une précision absolue, les couleurs montrent une belle pêche, les noirs sont solides et profonds ; c’est du très beau boulot, rendant pleinement honneur au travail sur la photo nocturne de Pedro Luque, adaptée à un tournage en numérique avec la caméra Arri Alexa Plus. Côté son, VF et VO sont proposés en DTS-HD Master Audio 5.1, et les deux mixages imposent un solide dynamisme, dont le spectateur profitera surtout durant les scènes d’horreur et les scènes en extérieur, qui proposent de multiples détails sonores parfaitement rendus et spatialisés.

Test DVD : Don’t breathe – La maison des ténèbres

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Pour le cinéphage de base, l’idée de pouvoir porter sur un piédestal un jeune metteur en scène que l’on considère comme « prometteur » a quelque chose de particulièrement excitant. Si le cinéaste en question confirme les espoirs placés en lui, on peut se targuer de l’avoir détecté avant tout le monde. Dans le cas contraire, on peut toujours jeter notre dévolu sur quelqu’un d’autre. En ce qui concerne Fede Alvarez, nous l’avons découvert avec un projet pour le moins casse gueule, à savoir le remake d’un de ces films jugés « intouchables » par tout fan qui se respecte, Evil Dead. Jeune cinéaste uruguayen s’étant fait une réputation sur Youtube avec son court métrage Ataque de Panico!, il a passé avec succès le cap du long métrage, allant à l’encontre du film original de Sam Raimi, optant plutôt pour une approche sanguinaire et radicale, et se montrant de plus très à l’aise avec la caméra avec une mise en scène baroque et stylisée. Dès lors, il ne lui restait plus qu’à enfoncer le clou avec un film original, chose faite avec Don’t breathe – La maison des ténèbres. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que, non seulement il confirme les espoirs que l’on avait pu placer en lui, mais il le fait avec une maîtrise de la mise en scène n’ayant rien à envier à un certain David Fincher.

Critique : Don’t breathe – La maison des ténèbres

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Pour le cinéphage de base, l’idée de pouvoir porter sur un piédestal un jeune metteur en scène que l’on considère comme « prometteur » a quelque chose de particulièrement excitant. Si le cinéaste en question confirme les espoirs placés en lui, on peut se targuer de l’avoir détecté avant tout le monde. Dans le cas contraire, on peut toujours jeter notre dévolu sur quelqu’un d’autre. En ce qui concerne Fede Alvarez, nous l’avons découvert avec un projet pour le moins casse gueule, à savoir le remake d’un de ces films jugés « intouchables » par tout fan qui se respecte, Evil dead. Jeune cinéaste uruguayen s’étant fait une réputation sur Youtube avec son court métrage Ataque de Panico!, il a passé avec succès le cap du long métrage, allant à l’encontre du film original de Sam Raimi, optant plutôt pour une approche sanguinaire et radicale, et se montrant de plus très à l’aise avec la caméra avec une mise en scène baroque et stylisée. Dès lors, il ne lui restait plus qu’à enfoncer le clou avec un film original, chose faite avec le film qui nous intéresse aujourd’hui. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que, non seulement il confirme les espoirs que l’on avait pu placer en lui, mais il le fait avec une maîtrise de la mise en scène n’ayant rien à envier à un certain David Fincher.

Test Blu-ray : Chair de poule

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Si les exécutifs de Sony à Hollywood ont décidé aujourd’hui d’adapter l’univers de R.L. Stine au cinéma, c’est sans doute que l’un des jeunes créatifs les plus influents du studio a du développer une sorte de nostalgie concernant la série d’ouvrages « horrifiques » pour enfants et/ou de la série TV qui en fut dérivée dans les années 90. En matière de modes, chacun sait qu’il faut battre le fer quand il est chaud, et Sony ne pouvait espérer réaliser un blockbuster familial en se basant sur l’éventuelle nostalgie d’une poignée de quasi-trentenaires qui ont tout oublié/refoulé du mauvais goût des 90’s, qui allait de Chair de poule aux 2 be 3 en passant par les pin’s, les sacs bananes ou les totoches.

Critique : Chair de poule – le film

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Un homme marche seul avec une valise noire. Cette dernière s’ouvre et laisse s’envoler plusieurs manuscrits. Une ombre passe à travers la ville et semble avoir un effet sur le décor et les personnages. Une femme sur une affiche de publicité change et se met à arborer une expression de dégoût. Les yeux d’un chien projettent une lueur jaunâtre. Si on n’a pas encore zappé, c’est qu’on est jeune et donc curieux. Curieux de voir si cet épisode nous fera peur. Bien que la musique soit à elle seule inquiétante, on reste devant notre écran. C’est un soir normal après l’école, en hiver. On déprime de n’être qu’au début de la semaine. Le vent qui fait claquer les volets ne nous rassure pas. Il fait déjà nuit et on ne se doute pas qu’après avoir éteint la télé, on ne va pas beaucoup dormir. Des frissons parcourent tout notre corps et ce faisant expliquent à merveille le nom de cette série adaptée des livres de R.L. Stine : Chair de poule.