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Test Blu-ray : Triplex

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Georges Lautner et Didier van Cauwelaert ont collaboré sur trois films. Le romancier français a tout d'abord signé les dialogues de La maison assassinée en 1988, puis le scénario de L'invité surprise en 1989. Cette deuxième expérience fut malheureusement marquée par le fait que le cinéaste et le scénariste ne sont pas parvenus à s'accorder sur la « tonalité » à apporter au film, qui s'avérait un curieux et indigeste mélange de comédie et de film policier. La troisième en revanche fut la bonne : avec Triplex en 1991, le ton est là, de même que la fantaisie, et cette petite comédie romantique oubliée s’impose rapidement comme une excellente surprise.

Test Blu-ray : Les compères + Les fugitifs

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Avec plus de sept millions d’entrées en France, le succès de La chèvre en 1981 a ouvert au trio gagnant composé de Francis Veber (scénariste / réalisateur), Gérard Depardieu et Pierre Richard (acteurs) une route littéralement pavée d’or dans le petit monde du cinéma français des années 80. Ce sont donc à deux reprises dans les années qui suivraient que les trois personnalités se retrouveraient sur une seule et même affiche : une première fois en 1983 pour Les compères, et une deuxième –et dernière– fois en 1986 pour Les fugitifs.

Test Blu-ray : Levy et Goliath

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Même s’il s’agit, pour être tout à fait honnête, d’un film aujourd’hui totalement oublié au sein de la carrière de Gérard Oury, Levy et Goliath est tout de même parvenu, à sa sortie dans les salles début 1987, à réunir 2,2 millions de français.

Test Blu-ray : Le château de ma mère

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Tous deux sortis en 1990, La gloire de mon père et sa suite Le château de ma mère ont réunis à eux deux plus de dix millions de français dans les salles obscures. Pourtant, malgré (ou peut-être à cause de ?) cet engouement populaire, les deux films d’Yves Robert furent les « grands oubliés » des César de cette année-là.

Test Blu-ray : La gloire de mon père

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Gros succès au box-office en 1990, La gloire de mon père a réuni presque sept millions de français dans les salles obscures – sept millions de spectateurs venus rêver au temps de l'enfance et de l'insouciance au cœur d'une France d'avant-guerre telle que narrée avec malice par Marcel Pagnol dans son autobiographie romancée. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que la réussite est au rendez-vous : c'est Pagnol qui s'adresse directement à nous, par l'intermédiaire d'Yves Robert et de son scénariste Jérôme Tonnerre, qui sont parvenus à retrouver l'essence des deux premiers tomes de ses « Souvenirs d'enfance » et livrent ce qui restera probablement pour bien longtemps la meilleure adaptation de son œuvre.