Voici la première photo d’Edward Norton dans The Bourne Legacy au côté de Jeremy Renner.
Sur nos écrans le 19 septembre 2012, The Bourne Legacy (Jason Bourne : L’héritage en VF) dévoile une première image mettant en scène Edward Norton au côté de Jeremy Renner. Le casting du film sera également composé de Rachel Weisz, Joan Allen, Oscar Isaac, Albert Finney, Scott Glenn, David Strathairn, Corey Stoll, ou encore Stacy Keach. A noter que dans ce spin-off des aventures de Bourne, Norton tient le rôle du « méchant ».
Tony Gilroy, scénariste et réalisateur de The Bourne Legacy en a profité pour s’exprimer auprès de MTV sur le film. Il est revenu sur les départs de Matt Damon et du réalisateur Paul Greengrass qui ont forcés Universal a songé différemment pour une suite : « Il y avait pas mal d’idées complètement surréalistes, et rien ne fonctionnait. Donc je leur ai proposé mon aide pour essayer se démarquer des premiers films.»
Le réalisateur parle également du lien entre ce quatrième film et les précédents : « Tout ce qui s’est déroulé avant n’était pas un rêve. Tout ce qui s’est déroulé était complètement réel, mais vous croyiez savoir ce qu’il s’y passait. Vous pensiez voir le monde, mais The Bourne Legacy va vous dire qu’il existe en fait un monde bien plus étendu, une conspiration encore au-delà. Ce qui se passe dans Ultimatum [La Vengeance dans La Peau en VF] est l’étincelle qui permet d’exploser la porte menant à ce nouveau film, car l’histoire de Jason Bourne est rendue publique dans les médias. Comme il n’est désormais plus possible d’étouffer l’affaire, cela cause des problèmes à cette conspiration plus large. Donc Ultimatum sert de toile de fond au début de Legacy.
Pour finir, il explique les différences entre Jason Bourne et Aaron Cross, le nouvel agent joué par Renner : « Le deuxième film (La Mort Dans La Peau en VF) était une sorte d’excuse : cela mettait en scène un homme qui essaie de reprendre le contrôle moral sur ce qu’il pense être et sur ce qu’il a fait. Le personnage de Legacy n’a pas ce type de conflit moral. Il n’est pas amnésique. Au contraire : il sait exactement d’où il vient. Il sait exactement quels sont les enjeux. Le ton sera donc très différent. »
