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Tag: Samara Weaving

Test Blu-ray : Snake Eyes – G.I. Joe Origins

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Avec 302 millions de recettes mondiales en 2009, le premier G.I. Joe fut suivi d'un deuxième épisode en 2014, qui rapporta quant à lui la bagatelle de 375 millions. Bizarrement, Snake Eyes : G.I. Joe Origins ne débarque sur les écrans que 7 ans plus tard.

À voir sur Netflix : The babysitter – Killer queen /...

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Avec The babysitter - Killer queen, McG nous propose un divertissement de haut vol, créatif, drôle et gore. Un rollercoaster en mode « Grindhouse », encore plus sanglant, encore plus barré, encore plus drôle.

À voir sur Netflix : The babysitter / Nounou d’enfer

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À l'occasion de la sortie imminente de The babysitter 2, on s'est dit qu'il serait bon de revenir sur The babysitter, une petite comédie horrifique iconique en diable réalisée par McG

Test Blu-ray : Wedding nightmare

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Si l’affiche française de Wedding nightmare a indéniablement bénéficié d’un soin tout particulier, et du travail sans doute acharné d’un graphiste de talent, il n’en demeure pas moins tout aussi évident que la branche française de 20th Century Fox devait émettre quelques doutes quant au potentiel commercial du film de Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett, et ce malgré son confortable succès au box-office américain (29 millions pour un budget de 6). Ainsi, la Fox en France semble bien avoir décidé de « vendre » le film comme s’il s’agissait d’un pur film d’horreur – ce qu’il n’est pas tout à fait en réalité, même si bien sûr le film s’amuse bel et bien avec les codes du genre. L’affiche française joue donc avec les codes classiques de l’épouvante, mettant en avant du sang et les murs de ce que l’on suppose être les murs d’une grande maison bourgeoise type Maison du diable, éléments prenant sur l’affiche française beaucoup plus de place que le personnage principal – la mariée – qui n’occupe même pas un quart de l’image. Et bien sûr, le titre original, Ready or not, sera également changé en un autre titre en anglais, Wedding nightmare. Si bien sûr tout cela ne dénature pas totalement le film, on admettra tout de même que le titre original (que reprendront par exemple nos cousins québécois en le traduisant par Prêt pas prêt) soulignait d’avantage la véritable nature du film, et surtout son humour, lié à l’absurdité bête et méchante de son postulat de départ. L’intrigue mettant en scène un jeu de cache-cache pour le moins mortel, Ready or not se traduirait plus fidèlement chez nous par « Caché ou pas ». Pour quelle raison, me demanderez-vous ? Hé bien tout simplement parce qu’il s’agit des paroles traditionnellement lancées à la cantonade par les joueurs de cache-cache à l’intention de leurs petits camarades s’étant planqués pendant le décompte d’usage : « Caché ou pas, j’arrive ! » / « Ready or not, here I come ! ».

Test Blu-ray : Mayhem

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En élève assidu semblant avoir pleinement assimilé les leçons d’un George A. Romero, Joe Lynch choisit avec Mayhem de livrer une critique volontiers subversive de la société américaine contemporaine. Utilisant le canevas classique du film « d’infectés » afin de critiquer sans vergogne la violence sociale et professionnelle de l’ère Trump, le cinéaste et son scénariste Matias Caruso livrent une satire pour le moins mordante du monde du travail américain (que l’on pourra aisément élargir à une bonne partie du monde occidental) se transformant littéralement en un jeu de massacre assez jouissif au cœur duquel les employés d’un cabinet d’avocats, libérés de leurs inhibitions sociales, n’hésitent plus à tuer pour monter en grade dans la société.

Test Blu-ray : 3 Billboards – Les panneaux de la vengeance

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Si le cinéma de Martin McDonagh a toujours été parfaitement sympathique, on n'ira pas jusqu'à clamer haut et fort que ses deux premiers films -pour mémoire Bons baisers de Bruges (2008) et 7 psychopathes (2012)- laissaient augurer d'une quelconque manière la claque ressentie à la vision de 3 Billboards : Les panneaux de la vengeance. Car en abordant de front un genre et une tonalité devenus depuis quelques années la chasse gardée des frères Coen, on ne s'attendait pas du tout à ce que le cinéaste parvienne à ce point à s'approprier cet univers, évoluant sur un fil très ténu entre l'humour très noir et la crudité du « réel », qui fait régulièrement et brutalement son irruption dans le récit.