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Vu sur Disney+ : Turner & Hooch

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Moche, crade et méchant : ce n'est pas vraiment la fiche de description typique des toutous qui peuplent d'habitude les productions Disney. Le protagoniste canin de Turner & Hooch y correspond pourtant assez fidèlement.

Revu sur OCS : « Les Soldats de l’espérance »

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En ces temps de crainte virale collective, certains se sont résignés à regarder en boucle Contagion de Steven Soderbergh, afin de savoir ce qui peut nous attendre, dans l'hypothèse la plus pessimiste. Pour notre part, on a préféré revoir le téléfilm Les Soldats de l'espérance, produit par HBO et disponible sur la plateforme de vidéo par abonnement OCS, qui revient sur une épidémie infiniment plus mortelle et aux implications sociales et culturelles plus ambiguës que la crise à traverser coûte que coûte en ce moment.

Test Blu-ray : Terror train – Le monstre du train

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Révélée par le Halloween de John Carpenter en 1978, Jamie Lee Curtis avait en effet durant quelque temps suivi la voie de l’horreur, avec trois films en 1980 – Fog, Le bal de l’horreur et Le monstre du train – et deux en 1981 – Déviation mortelle et Halloween II.

Test DVD : Under Fire

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Un film qui, s'il se traine un peu durant la première demi-heure, devient ensuite particulièrement passionnant.

Test DVD : Un chat pour la vie

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Derrière Un chat pour la vie se cache le nom de Roger Spottiswoode : un cinéaste que l'on ne s'attendait pas forcément à voir débarquer aux commandes d'un film adapté d'une histoire vraie, dans le sens où pour la plupart des cinéphiles, le nom de Roger Spottiswoode est automatiquement associé à une certaine idée, populaire et généreuse, du cinéma d’action. S’étant fait connaître avec le scénario de 48 heures de Walter Hill, il reviendrait en effet tout au long de ses presque quarante ans de carrière régulièrement aux blockbusters orientés « action familiale », avec des films tels que Turner et Hooch (1990), Arrête ou ma mère va tirer (1992) ou, plus récemment, avec Demain ne meurt jamais (1997) et A l’aube du sixième jour (2000). A partir des années 2000, Roger Spottiswoode se ferait un peu plus rare derrière la caméra, ne retrouvant le chemin des studios qu’en de rares occasions. En 2016 néanmoins, il trouverait la motivation nécessaire afin de mettre en images une histoire vraie : celle des liens tissés entre un ex-toxicomane et son chat, sur laquelle de James Bowen est revenu dans une série de bouquins (les deux premiers d'entre eux, Un chat des rues nommé Bob et Le monde selon Bob, sont d'ailleurs disponibles en France).