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Test Blu-ray : Dernier domicile connu

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Dernier domicile connu est l'un des premiers polars français remettant en cause deux grandes institutions : la police et le système judiciaire. José Giovanni nous livre ici un récit désabusé, au cœur desquels flics et juges semblent perdre toute autorité morale...

Test Blu-ray : Le grand chef

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Le grand chef mérite le coup d’œil pour plusieurs raisons. La première se situe au niveau du casting : le film d’Henri Verneuil met en effet en scène les retrouvailles à l’écran entre Fernandel et Gino Cervi, son partenaire de la saga Don Camillo.

Test Blu-ray : Gas-oil

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Polar de « prolétaires », mettant en scène des routiers et donnant à voir une sympathique photographie de la France rurale des années 50, Gas-oil est l’adaptation d’un roman de Georges Bayle, publié dans la « Série Noire » de Gallimard.

Test Blu-ray : Chiens perdus sans collier

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La critique n’a pas forcément été tendre avec Chiens perdus sans collier à sa sortie en 1955. On pense notamment à François Truffaut, qui considérait que le film de Jean Delannoy faisait « reculer les bornes de l'insignifiance »...

Test Blu-ray : Le Rapace

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Le Rapace s’ouvre sur une longue introduction sans le moindre dialogue, qui suit un Lino Ventura pour le moins taciturne dans un pays d'Amérique latine. En l’espace de quelques séquences, José Giovanni y pose le décor autant que la tonalité de son film.

Test Blu-ray : Train d’enfer

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Péripéties à gogo, ambiance pop, méchants de pacotille et décors baroques : telle est la recette du genre, et Jean Marais, s'en était fait une spécialité. En 1965, âgé de 52 ans, il se régalait à interpréter les espions bondissants dans Train d'enfer.

Test Blu-ray : Symphonie pour un massacre

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Adapté du roman « Les mystifiés » d'Alain Reynaud-Fourton (publié chez Gallimard dans la fameuse collection Série Noire, n° 717), Symphonie pour un massacre s'impose rapidement comme un thriller très noir, dont les influences majeures vont chercher du côté du « Film Noir » américain. Déployant une intrigue implacable, suivant une ligne directrice claire, le troisième long-métrage de Jacques Deray tourne autour d'une série de personnages de truands, semblant tous uniquement motivés par l’appât du gain et de savoir qui s'en mettra le plus dans les fouilles. Dès les premières séquences, qui mettent en scène José Giovanni et Charles Vanel, le ton est en effet donné : l'argent est considéré comme un moteur pour cette improbable gang de malfrats.