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Test Blu-ray : À bout portant

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Dix-huit ans après Les tueurs de Robert Siodmak, Don Siegel fait le choix avec À bout portant de revisiter tout à la fois la nouvelle d'Ernest Hemingway, mais également le film original, dont il signe un remake aussi habile que singulier.

Décès de l’acteur Seymour Cassel

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L'acteur américain Seymour Cassel est décédé avant-hier à Los Angeles des suites de la maladie d'Alzheimer. Il était âgé de 84. Cassel faisait partie de la troupe du réalisateur mythique du cinéma indépendant John Cassavetes, pour lequel il avait joué dans sept films.

Venise 2018 : la sélection Venezia Classici

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En complément de la liste, annoncée fin juillet, des films qui rencontreront pour la première fois leur public lors de leur projection en compétition au prochain Festival de Venise, voici celle des dix-huit films restaurés, inclus dans la septième édition de Venezia Classici, l'équivalent italien de Cannes Classics.

Les sorties du 2 août 2017

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Est-ce que le grand chassé-croisé annuel entre juillettistes et aoûtiens existe réellement ou bien sert-il seulement de prétexte aux médias en panne d'actualités en cette période extrêmement calme ? En effet, d'année en année, nous avons de plus en plus l'impression que, oui, les derniers vacanciers ne partent qu'à partir de la fin juillet, mais que personne ou presque ne rejoint en échange les agglomérations urbaines avant la fin août.

Cannes 70 : minuit, l’heure du film

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70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...

Critique : A bout portant (Don Siegel)

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Si Douglas Sirk, le maître du mélodrame stylisé, s’était un jour abaissé à tourner un film de gangster, celui-ci aurait probablement ressemblé à cette adaptation d’une nouvelle de Ernest Hemingway. Au détail près que la sensibilité de Don Siegel est beaucoup plus virile que celle de Sirk et que, par conséquent, A bout portant reste un film de genre majeur, poignant et en même temps pleinement conscient de la surenchère dramatique dans laquelle il s’engage avec bravoure. Ses personnages sont en quête d’une vérité qui se dérobe à leur emprise, au fur et à mesure qu’ils progressent vers l’origine de la mélancolie profonde qui surplombe le film dans son ensemble. A la fin de ce récit à tiroirs magistral, il n’y a que la mort ou, pire encore, le mensonge existentiel de l’amour impossible auquel chaque homme devra faire face pour survivre tant bien que mal.

Critique : À bout portant

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Après le très bon Pour elle, Fred Cavayé s'attaque au polar à la française avec À bout portant. Il souhaitait réaliser ce film comme une course-poursuite ininterrompue, une sorte de version longue des 30 dernières minutes de Pour elle.