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Test Blu-ray : Dora et la cité perdue

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Dessin animé d'éveil largement diffusé / rediffusé à travers le monde au début des années 2000, Dora l'exploratrice a acquis, au fil des années, une dimension réellement « culte » auprès d’un public de tous les âges. Car au-delà de son caractère éducatif destinés aux jeunes enfants, la série a fini par amuser nombre d’adultes qui en reprendront les gimmicks et autres expressions dans la vie de tous les jours, ce qui contribuerait à faire de la petite Dora une véritable icône culturelle, que tout le monde semble connaître. Ainsi, la série créée par Valerie Walsh, Eric Weiner et Chris Gifford a probablement, à l’image des Télétubbies quelques années auparavant, gagné la dévotion éternelle de millions d'enfants en âge préscolaire tout autant que de nombreux admirateurs adultes silencieux.

Test DVD : Apprentis parents

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Découvert en 2008 avec le très amusant Sex drive, teen movie hors normes bien au-dessus de la moyenne du genre, Sean Anders a passé les premières années de sa carrière Hollywoodienne à enchaîner les comédies orientées « trash », soit en tant que scénariste, soit en tant que réalisateur. S’il se consacre toujours aujourd’hui à la comédie, le ton de ses films semble avoir pris un tournant important en 2015, avec la comédie Very bad dads, qui mettait la notion de « famille » au centre de toutes ses préoccupations.

Test Blu-ray : Sicario – La guerre des cartels

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Autant l'avouer sans ambages : cela serait mentir d'affirmer un quelconque enthousiasme, en tant que spectateur, à l'annonce de la mise en chantier d'une suite à Sicario, tant le film de Denis Villeneuve se suffisait à lui-même. En effet, depuis plusieurs décennies, on ne compte plus les suites uniquement destinées à surfer sur un succès et à engranger le maximum d'argent en un minimum de temps ; on voyait donc en toute honnêteté l'arrivée de ce Sicario : La guerre des cartels du plus mauvais œil. « Monumentale erreur ! » comme le dirait Jack Slater. Comme quoi, on peut parfois être très très con de suivre une première impression, et à la découverte du film de Stefano Sollima, on ne pourra QUE faire notre mea culpa d'avoir pu être autant à côté de la plaque.