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Test Blu-ray : Channel Zero Saison 4 – The dream door

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La quatrième – et dernière – saison de Channel Zero se nomme donc The dream door, et s'avère basée sur un creepypasta intitulé « I found a hidden door in my cellar, and I think I've made a big mistake ». Comme à leur habitude, Nick Antosca et ses auteurs ont pris le parti de « gonfler » l'histoire courte imaginée par Charlotte Bywater, connue de la communauté Reddit sous le pseudonyme de u/v0ids, en y ajoutant une dimension liée à la famille, et plus précisément aux secrets de famille, aux squelettes planqués dans le placard qui finissent toujours par ressurgir à un moment ou à un autre. Cette obsession pour les traumatismes familiaux du passé, couplée à une vision très originale du genre horrifique – à la fois extrêmement psychologique et versant volontiers dans le grand guignol le plus grotesque – est une des clés de la réussite du show, qu'on aurait franchement aimé voir se prolonger durant encore quelques saisons. D'autant que pour être honnête, la série créée par Nick Antosca n'a vraiment pas bénéficié du succès qu'elle aurait mérité.

Test Blu-ray : Blair witch

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Le found footage, c’est naze ! C’est par cette affirmation définitive et sentencieuse qu’un critique paresseux pourrait résumer le dernier effort d’Adam Wingard. Et si l’on ne pourrait pas totalement donner tort à ce dernier concernant ce sous genre désolant qui aura pollué le cinéma de genre des 2010s, réduire Blair witch à cette simple affirmation serait on ne peut plus simpliste. Car si la majorité des représentants du genre est indigne de la moindre considération, surfant de façon opportuniste sur une vague n’ayant plus grand chose de neuf à proposer, et se contentant de reproduire des motifs essoufflés depuis bien longtemps, certains cinéastes intéressants, sont capables de proposer, à défaut de quelque chose de réellement neuf, une variation digne d’intérêt.

Critique : Blair Witch

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Le found footage, c’est naze ! C’est par cette affirmation définitive et sentencieuse qu’un critique paresseux pourrait résumer le dernier effort de Adam Wingard. Et si l’on ne pourrait pas totalement donner tort à ce dernier concernant ce sous genre désolant qui aura pollué le cinéma de genre des 2010’s, réduire le film qui nous intéresse aujourd’hui à cette simple affirmation serait on ne peut plus simpliste. Car si la majorité des représentants du genre est indigne de la moindre considération, surfant de façon opportuniste sur une vague n’ayant plus grand chose de neuf à proposer, et se contentant de reproduire des motifs essoufflés depuis bien longtemps, certains cinéastes intéressants, sont capables de proposer, à défaut de quelque chose de réellement neuf, une variation digne d’intérêt.