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Nicolas Santal

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Cet article a été rédigé par Nicolas Santal, rédacteur de Critique-film.fr

Cannes 2019 : l’heure du bilan

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Retrouvez tous nos articles sur le Festival de Cannes en cliquant ici Dernier jour à Cannes : l'heure du bilan, donc. A l'heure où nous...

Cannes, jour 9 : quelques déceptions

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Once upon a time ... in Hollywood - 3.5/5 "Once upon a time … in Hollywood est en effet étrangement statique. Il ne se passe...

Cannes, jour 8 : Tarantino et Bong Joon-ho acclamés

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De Tarantino à Rodriguez Du jamais vu. Dès la veille, des dizaines de Tarantinophiles déambulaient autour du palais du festival à la recherche de places...

Cannes 2019 : Once upon a time … in Hollywood

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Le film commence : après un faux reportage sur le plateau d'une série western, on se retrouve plongé en plein dans le Hollywood de 1969. Léonardo DiCaprio, Brad Pitt, Margot Robbie, et dans des plus petits rôles, Al Pacino et Kurt Russell. On s'attendait à une fresque flamboyante sur le monde du cinéma, au tournant d'une époque ; c'est dire si nous avons été surpris.

Cannes 2019 : Parasite (compétition)

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Parasite est avant tout une histoire de famille(s) : celle des protagonistes, qui doivent vivre dans un entre-sol et celle des Park, socialement à l'opposé des précédents. Comme d'habitude chez Bong Joon-ho, quelques plans suffisent pour nous faire ressentir une empathie immense envers les personnages. Ici, tous sont attachants, même (et surtout) lorsque les évènements prennent un tournant inattendu. Car s'il y a une chose dont le cinéaste semble s'être fait la spécialité, c'est le changement de ton.

Cannes, jour 7 : Une vie cachée & Frankie

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Une vie cachée... Franz est un objecteur de conscience, ce qui n'est pas conseillé quand on est Autrichien en 1940. Lorsqu'il est appelé à servir sous les oripeaux du IIIème Reich, quitte à laisser de côté sa vie paisible, et sa famille avec elle, il préfère devenir prisonnier politique que d'aller tuer des innocents.

Cannes, jours 5 & 6 : Douleur, amour, et épilepsie

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Le réalisateur espagnol le plus connu à l’étranger déprime ; non pas Pedro Almodovar, mais Salvador, le protagoniste de Dolor y gloria. Plus que jamais peut-être, le cinéaste se livre corps et âme dans un film d’une incroyable maitrise. Et alors qu’il ne parle que de lui, c’est avec une grande pudeur qu’il nous présente ses obsessions. Quelle part de fiction y réside, difficile de le savoir exactement, mais une grande sincérité s’en dégage.

Cannes, jour 4 : de Loach à Refn, le grand écart

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Retrouvez tous les jours nos compte-rendus et nos critiques, notamment concernant la Quinzaine des Réalisateurs, en cliquant ici. Sorry We Missed You -...

Cannes 2019 : Too Old to Die Young (séance spéciale)

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Nicolas Winding Refn présentait, en séance spéciale, deux épisodes de sa future série, Too old to die young. En tenant compte de son affirmation d’avoir réalisé « un film de 13 heures », c’est donc un long extrait de 2h18 que nous avons eu la chance de voir. Pourtant, le premier des deux épisodes (le 4, donc), ressemble bel et bien à un épisode de série : on est plongé au milieu d’une intrigue à multiples personnages, bien qu’on arrive à comprendre assez vite leurs places dans le récit. Difficile de juger cet épisode d’un peu moins d’une heure : heureusement, l’épisode suivant mettra tous les aficionados de NWR d’accord.

Cannes, jour 3 : dansons la Carioca

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Retrouvez tous les jours nos compte-rendus et nos critiques en cliquant ici. Dansons la Carioca (culte/5) L'idée a été lancée par deux internautes, puis signée...

Cannes 2019 : Les Misérables (compétition)

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A chaque film sur la banlieue, ou presque, on évoque La Haine de Matthieu Kassovitz. Comme s’il s’agissait d’une référence indépassable, ou de la seule référence du genre. Il n’a pas fallu bien longtemps pour qu’on commence à entendre des comparaisons entre le film de Ladj Ly, et celui qui aura bientôt 25 ans. Pourtant, s’il s’inscrit dans ses pas, Les Misérables est bien plus qu’un énième « film de banlieue » loué à sortie et vite oublié. Au contraire, gageons qu’il va faire parler de lui, pour son regard perçant sur la situation contemporaine.

Cannes 2019 : Bacurau (compétition)

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En seulement deux longs-métrages, Kleber Mendonça Filho a su s'imposer comme un des représentants du cinéma brésilien contemporain. Dans Bacurau, il livre encore un récit engagé sur son pays, une déclaration d'amour et d'espoir qui durant plus de deux heures nous emmène sur des chemins inattendus.